Les voyages en bateau, notamment en croisière, offrent des vacances uniques et tout compris. Pourtant, comme pour tout type de voyage, il y a des avantages et des inconvénients à prendre en compte…
Gaborone occupe une étroite bande de terre entre la douce pente de Kgale Hill à l'ouest et les pentes effilées d'Oodi Hill à l'est. Là, au confluent des rivières Notwane et Segoditshane, la capitale du Botswana se déploie en un quadrillage précis de quartiers gouvernementaux, de galeries commerciales et de banlieues résidentielles. Fondée il y a à peine soixante ans, la ville a connu une croissance fulgurante. Sa population, estimée à 246 325 habitants lors du recensement de 2022, représente aujourd'hui environ un Botswanais sur dix. L'agglomération élargie – une constellation de villes de banlieue comme Ramotswa, Mogoditshane, Mochudi et Tlokweng – ajoute 288 517 âmes supplémentaires à la population immédiate de Gaborone.
Dès le premier regard sur l'Arc de Pula, à l'extrémité est du Main Mall, on perçoit la double vocation de la ville. L'Arc, geste commémoratif de l'indépendance, marque la frontière entre la rue piétonne bordée de boutiques, de cafés et de missions diplomatiques et l'immensité semi-circulaire des ministères. C'est là que se dressent l'Assemblée nationale, le Ntlo ya Dikgosi et les Archives nationales : des édifices blanchis à la chaux d'une sobriété moderniste, aux formes anguleuses et aux façades épurées. À l'ouest, la Bourse du Botswana et le siège de la Communauté de développement de l'Afrique australe témoignent de l'importance économique et régionale de la ville.
Gaborone doit son nom à un chef tlokwa dont le territoire comprenait autrefois ces bassins versants. Au milieu des années 1960, alors que le Bechuanaland se préparait à l'autonomie, les urbanistes cherchaient une capitale non revendiquée par un seul groupe ethnique, proche de l'eau douce et facilement accessible par voie ferrée. L'ancien district colonial de Gaborones, traversé par la ligne de chemin de fer Cap-Rhodésie, offrait précisément cette neutralité. Il en résulta une ville fonctionnaliste : de larges avenues, des immeubles d'habitation de faible hauteur, un centre commercial central délibérément interdit aux automobiles et de généreux retraits propices à la croissance.
Pourtant, cette croissance s'est produite avec une force inattendue. À partir des années 1970, le taux d'expansion de Gaborone figurait parmi les plus élevés au monde. En 2022, la population de la ville augmentait de 3,4 % par an, attirant ainsi les migrants en quête d'éducation, d'emploi et des commodités d'une capitale émergente. Il en a résulté des tensions entre développement planifié et quartiers informels, la périphérie de la ville ayant absorbé une grande partie des terres agricoles environnantes.
Située à un peu plus de 1 000 mètres d'altitude, Gaborone bénéficie d'un climat semi-aride. Les étés sont longs et généralement secs ; les précipitations se concentrent entre octobre et avril, souvent sous forme d'orages violents. La ville compte en moyenne une quarantaine de jours d'orages par an. En période de sécheresse, les températures peuvent dépasser 43 °C en janvier et février ; en période de pluies normales, la température maximale saisonnière atteint octobre, avec l'apparition des premiers nuages sombres. Les nuits d'hiver descendent sous les 7 °C cinquante et une fois par an, frôlant parfois le point de congélation lors des soirées les plus froides. L'humidité relative oscille entre 28 % en septembre et 90 % en juin, tandis que la vitesse du vent atteint en moyenne 14 km/h de septembre à novembre.
Le barrage de Gaborone, situé au sud, le long de la route principale menant à Lobatse, alimente en eau la capitale et sa voisine du sud. Avec une capacité de 141 millions de mètres cubes, il se classe au deuxième rang du pays. Ses rives sont devenues une enclave récréative, abritant un yacht club, un club de pêche et le tout nouveau complexe City Scapes, composé de parcs et d'installations nautiques. Cependant, la baignade y reste déconseillée en raison des crocodiles et de la bilharziose.
Dans la capitale, les femmes sont légèrement plus nombreuses que les hommes (127 598 contre 118 727), soit un rapport de masculinité de 963 hommes pour 1 000 femmes. Un ménage moyen compte un peu plus de trois personnes, ce qui en fait l'un des plus petits du Botswana, et près de la moitié des citoyens vivent à moins de cent kilomètres de la ville. Le setswana et l'anglais dominent le langage courant, aux côtés du kalanga et du kgalagadi. Des églises de toutes les grandes confessions chrétiennes bordent les avenues, des luthériennes et pentecôtistes aux catholiques romains, tandis que deux congrégations orthodoxes serbes desservent une modeste communauté d'expatriés.
Malgré ses promesses, Gaborone porte l'un des plus lourds fardeaux du pays en matière de VIH/sida. On estime que 17,1 % de sa population vit avec le virus, la prévalence la plus élevée étant observée chez les personnes âgées de 45 à 49 ans. Les services de santé publique ont mené de vastes campagnes de sensibilisation, mais des idées fausses persistent : une étude de 2008 a révélé que près d'un habitant sur six croyait que la sorcellerie pouvait transmettre le VIH, et près d'un sur trois soupçonnait les moustiques d'être porteurs de la maladie.
Le Musée national et galerie d'art, inauguré en 1968 sur Independence Road, offre un récit riche et varié du patrimoine du Botswana. Ses galeries exposent des objets d'artisanat traditionnel, des peintures de l'époque coloniale de Thomas Baines et des œuvres contemporaines de Lucas Sithole. Des expositions extérieures présentent des chariots tirés par des bœufs et des véhicules à moteur anciens. En 2007, le musée s'est agrandi avec l'ajout d'un jardin botanique de neuf hectares, dédié à la préservation de la flore indigène.
Chaque printemps, la ville vibre au rythme des spectacles du Festival Maitisong. Pendant sept jours, entre fin mars et début avril, concerts en plein air, productions théâtrales et projections de films animent parcs et places publiques. Autrefois, le concours « Mon rêve africain » organisé au Centre international des congrès mettait en vedette des danseurs de kwaito et des musiciens émergents, mais cet événement a depuis disparu.
Gaborone doit sa renommée littéraire à la série « No. 1 Ladies' Detective Agency » d'Alexander McCall Smith. L'héroïne, Precious Ramotswe, navigue dans un monde d'agitation urbaine et de traditions rurales depuis son bureau situé près du centre-ville, offrant à un public international les rythmes et coutumes du Botswana.
Les principales institutions financières du Botswana sont regroupées à quelques pâtés de maisons du centre commercial principal. La Banque du Botswana, la Banque de Gaborone, la BancABC et la Bourse du Botswana sont les piliers d'un marché financier en pleine croissance ; Debswana, l'entreprise diamantaire De Beers, emploie des milliers de personnes ; et Air Botswana a son siège social à proximité de l'aéroport. Des entreprises internationales, de Hyundai à Siemens, y ont établi des bureaux régionaux, attirées par la stabilité politique et un cadre réglementaire favorable.
La Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC), créée en 1980 pour favoriser la coopération régionale, a établi son siège à Gaborone, soulignant ainsi le rôle diplomatique de la ville. Tout aussi important, le monument des Trois Dikgosi, situé dans le nouveau quartier central des affaires, est une triade de figures de bronze commémorant les chefs qui ont demandé à Londres de préserver l'indépendance du Bechuanaland. Bien que le coût du monument et une erreur de date aient suscité la controverse, il demeure un puissant symbole de l'identité nationale.
L'aéroport international Sir Seretse Khama se trouve à 25 kilomètres au nord de la ville, desservi par un terminal récemment modernisé. En 2018, il a accueilli quelque 578 000 passagers par an, avec des vols directs vers Johannesburg, Le Cap, Durban et Addis-Abeba. Un réseau de kombis (minibus), d'autocars et de taxis assure un transport urbain fiable. La ligne ferroviaire nationale, autrefois réservée au fret jusqu'à sa reprise en 2016, relie Lobatse au sud et la frontière zimbabwéenne, puis Serule et Francistown au nord.
L'expansion rapide de Gaborone a mis à rude épreuve le logement, les infrastructures et les services sociaux. Des quartiers informels se sont installés à ses abords, tandis que les embouteillages et la demande en eau mettent à rude épreuve les capacités municipales. Pourtant, les investissements dans de nouveaux complexes commerciaux, des banlieues résidentielles comme le quartier huppé de Phakalane, et des équipements publics témoignent d'une croissance continue. Le projet de quartier de loisirs Waterfront, près du barrage de Gaborone, témoigne de la volonté d'une ville de concilier travail et loisirs.
Plus d'un demi-siècle après sa fondation, Gaborone demeure une ville en devenir. Elle porte les stigmates de son héritage colonial, les aspirations d'une jeune nation et les pressions du dynamisme urbain. Dans ses rues baignées de soleil, sous la silhouette austère des collines, on perçoit à la fois la résilience des institutions botswanaises et les tensions persistantes d'une modernisation rapide. Dans ces contradictions se cache son histoire : celle d'une conception réfléchie, d'une complexité émergente et d'une capitale qui peine à se dessiner.
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Gaborone, jeune capitale dynamique du Botswana, est nichée dans les douces collines du Kalahari. Siège du gouvernement et centre économique du pays, Gaborone mêle architecture moderne, espaces verts paisibles et convivialité locale, surprenant souvent les visiteurs. Située sur les rives de la rivière Notwane, à environ 15 km de la frontière sud-africaine, elle abrite près de 10 % de la population du Botswana (environ 250 000 habitants dans la ville et plus de 500 000 dans l’agglomération). Dans un paysage urbain composé d’immeubles bas et d’avenues bordées de palmiers, les influences internationales côtoient la culture traditionnelle Setswana. Gratte-ciel et centres commerciaux animés côtoient marchés de quartier et vendeurs de tissus shuka. Même aux heures de pointe, le rythme de vie y est paisible, loin de l’agitation des grandes capitales.
Une promenade matinale et fraîche dans le centre-ville permet de découvrir le Monument des Trois Dikgosi – trois statues monumentales de chefs locaux historiques – et, non loin de là, l'imposant Parlement. Au loin, les pentes de la colline de Kgale s'élèvent au-dessus de la savane. La nuit, les lumières de la ville scintillent doucement à l'horizon. Gaborone est une ville planifiée, créée au début des années 1960, et le plan en damier de ses rues témoigne encore de cet héritage. Aujourd'hui, c'est une capitale étonnamment verte : des arbres bordent ses larges boulevards et des jardins s'épanouissent dans tous les quartiers. L'atmosphère y est généralement paisible et accueillante. Les voyageurs y trouvent un mélange de chaleur africaine et d'activité économique internationale ; ce n'est pas une métropole touristique, mais plutôt une fenêtre ouverte sur le cœur vibrant du Botswana moderne.
La plupart des visiteurs du Botswana privilégient les espaces sauvages, mais Gaborone offre un charme urbain authentique. Capitale africaine moderne, elle s'est développée au rythme de la prospérité du Botswana, alimentée par le commerce du diamant. Les voyageurs décrivent Gaborone comme un mélange de convivialité africaine et d'une touche de confort suburbain : rues propres, conducteurs courtois et rythme de vie paisible. On s'y sent en sécurité, moderne et accessible, tout en conservant une culture et une cuisine profondément africaines. En une ou deux semaines, vous pourrez profiter d'ateliers d'art tribal, de safaris et bien d'autres activités, généralement à votre rythme.
La capitale du Botswana est un véritable carrefour culturel. Vous y ferez escale en vous rendant au delta de l'Okavango ou à Chobe, mais prenez le temps de vous y attarder. Musées et marchés offrent un aperçu de la vie locale, tandis que les restaurants proposent des plats tswana et une cuisine internationale. Le soir venu, vous pourrez danser au son du jazz botswanais ou savourer un verre tranquillement à l'ombre des acacias.
Gaborone est également un centre d'affaires important pour l'Afrique australe. Son aéroport international la relie à Johannesburg, Nairobi et au-delà, ce qui en fait un point d'entrée pratique. Hôtels modernes, centres commerciaux et ambassades témoignent de cette dimension internationale. Contrairement aux capitales surpeuplées, Gaborone offre une impression d'espace : de vastes pelouses et des places publiques remplacent les ruelles étroites. Ici, la vie quotidienne s'écoule à son propre rythme. On peut explorer la ville à pied ou prendre un taxi tranquillement, sans se sentir pressé.
En définitive, Gaborone séduit les voyageurs en quête d'une immersion dans le Botswana authentique, sans pour autant avoir à camper. Facile d'accès pour les néophytes en Afrique, la ville se caractérise par une parfaite maîtrise de l'anglais, le paiement par carte bancaire et des services municipaux fiables. Elle conserve néanmoins une authenticité locale indéniable, des chauffeurs de taxi chaleureux conversant en tswana aux échoppes de bord de route proposant des « vetkoek » (pain frit) et du thé. Pour un premier voyage, Gaborone peut constituer un point de départ ou d'arrivée rassurant pour un périple africain. Pour les habitués, elle offre un aperçu fascinant de l'évolution urbaine du Botswana.
L'histoire de Gaborone est courte mais mouvementée. Au début des années 1960, le Botswana (alors protectorat britannique du Bechuanaland) avait besoin d'une nouvelle capitale. Il fut décidé de transférer le siège du gouvernement de Mafeking (aujourd'hui Mahikeng, en Afrique du Sud) à Gaborone même. La construction commença et, dès 1965, la capitale fut baptisée « Gaborone », en hommage à un ancien chef tribal, Gaborone Mabogo. Le Botswana accéda à l'indépendance en 1966 et Gaborone (alors une ville) devint officiellement la capitale nationale.
Partant de quelques milliers d'habitants seulement en 1964, la population de Gaborone a explosé pour atteindre environ 250 000 personnes en 2022. Cette croissance a engendré de nouveaux quartiers comme Broadhurst et les zones branchées du nord-ouest (également appelées « les Villages »). Des problèmes d'infrastructures ont accompagné cette expansion : d'anciens articles de presse font état d'une pénurie de logements et d'une prolifération de bidonvilles dans les années 1980. Aujourd'hui, la municipalité prévoit une croissance continue, faisant de Gaborone l'un des centres urbains à la croissance la plus rapide d'Afrique.
Culturellement, Gaborone reflète l'héritage tswana, majoritaire au Botswana. Le setswana est la langue principale parlée dans les rues ; le nom « Botswana » signifie d'ailleurs « pays des Tswana ». Mais en tant que capitale moderne, c'est aussi un véritable melting-pot : l'anglais y est la langue officielle et utilisée dans le monde des affaires, et des groupes ethniques de toute l'Afrique australe y cohabitent. L'identité tribale est présente lors des cérémonies et dans les expositions muséales, mais au quotidien, les différentes ethnies se côtoient. On y trouve de l'artisanat traditionnel (vannerie, poterie, sculptures de mokoro) aux côtés de boutiques occidentales.
La société locale est relativement conservatrice. De nombreux hommes portent costume et cravate au bureau, et les femmes s'habillent élégamment sur leur lieu de travail. Par respect, les visiteurs se saluent souvent d'une poignée de main et d'un « Dumela » (bonjour). On s'adresse aux aînés et aux fonctionnaires en utilisant leurs titres. La politesse est importante : dire « s'il vous plaît » (ka kopo) et « merci » (ke a leboga) est apprécié. Comme dans de nombreuses cultures africaines, l'espace personnel est plus important que dans certains pays occidentaux ; une certaine distance dans la conversation est donc normale.
L'un des héritages de l'époque pré-capitaliste est l'Université du Botswana (fondée en 1982) et ses établissements d'enseignement supérieur associés. Des jeunes de toute la région viennent étudier à Gaborone, insufflant à la ville une énergie nouvelle. La vie culturelle s'articule autour de lieux comme le Musée national et la Galerie d'art, inaugurés en 1967, qui présentent des artefacts préhistoriques et de l'artisanat tswana. Le Centre des arts visuels Thapong est un espace artistique communautaire qui accueille des expositions d'artistes locaux et internationaux. Chaque année en octobre, le festival Maitisong anime la ville avec des spectacles de danse, de musique et de théâtre, célébrant la diversité du Botswana.
Le Botswana est réputé pour sa stabilité et sa tolérance, et Gaborone en est l'incarnation. L'éducation sur le VIH/SIDA et des lois progressistes ont instauré un climat de sécurité élevé. Plus calme que Johannesburg ou Nairobi, Gaborone n'en conserve pas moins un dynamisme appréciable. Sur les marchés, on entend un véritable kaléidoscope de langues (kalanga, ndébélé, anglais) et l'on découvre une société où danses traditionnelles et culture pop contemporaine coexistent harmonieusement. C'est ce mélange – une Afrique moderne bâtie sur de solides fondements tribaux – qui définit Gaborone aujourd'hui.
La plupart des voyageurs internationaux arrivent par l'aéroport international Sir Seretse Khama (GBE), situé à environ 15 km au nord de la ville. Parmi les compagnies aériennes desservant l'aéroport figurent des transporteurs sud-africains (depuis Johannesburg et Le Cap), Ethiopian Airlines (depuis Addis-Abeba) et des compagnies régionales (comme Air Botswana et Kenya Airways). L'aéroport est moderne et efficace ; des taxis et des navettes assurent la liaison avec le centre-ville. Un trajet en taxi jusqu'au centre-ville dure environ 20 à 30 minutes et coûte entre 150 et 200 BWP (pulas), selon la circulation et votre capacité à négocier.
Originaire d'Afrique du Sud, bus Les transports terrestres constituent une option courante. Des autocars de luxe (InterCape/Interlink) effectuent des liaisons quotidiennes entre Johannesburg et Pretoria et Gaborone. Le trajet dure environ 7 à 8 heures, avec un passage de la frontière à Ramatlabama. Les passagers arrivent à la principale gare routière de Gaborone, près du centre-ville. Vous pouvez réserver vos billets auprès d'agences de voyages ou en ligne ; les tarifs sont abordables (environ 20 à 30 $ US).
Bien que le Botswana ait autrefois exploité des trains transfrontaliers, il n'existe aujourd'hui aucune liaison ferroviaire régulière entre l'Afrique du Sud et Gaborone. Des safaris privés proposent parfois des voyages à bord du luxueux Blue Train ou du Rovos Rail sur le trajet Pretoria-Gaborone, mais ces liaisons sont principalement destinées aux touristes et peu fréquentes. Pour la plupart des voyageurs, l'avion ou le bus/la voiture restent les solutions les plus simples. En voiture, le trajet depuis Johannesburg est d'environ 350 km (4 à 5 heures). Les autoroutes (l'autoroute A1 au nord de Mafikeng, puis vers le sud après la frontière) sont en bon état, même si les routes de campagne peuvent présenter des nids-de-poule. On trouve facilement du carburant. Munissez-vous de votre visa AAA/EZD si vous traversez les points de contrôle sud-africains et gardez vos passeports à portée de main.
Le Botswana partage ses frontières avec le Zimbabwe au nord-est (via Ramokgwebana/Francistown) et la Namibie à l'ouest (via Kwaneng/Kgomotso). Les voyageurs zimbabwéens arrivent généralement par avion ou par la route via Francistown, puis rejoignent Gaborone en autocar ou par un court vol. Depuis la bande de Caprivi en Namibie, on peut traverser le Botswana par la route via Kasane puis l'autoroute A1.
Pour vos déplacements à l'intérieur du pays, l'aéroport Sir Seretse Khama propose également des vols intérieurs, notamment vers Kasane (pour le parc national de Chobe/Nord) et Maun (pour le parc national d'Okavango). Vous pouvez réserver ces vols auprès de compagnies aériennes locales ou d'agences de safari.
Conseil aux voyageurs : Si vous venez de Johannesburg, pensez à prendre un bus de nuit pour économiser sur votre billet d'avion. Le bus part tard le soir et arrive à Gaborone le matin, ce qui vous permet de dormir pendant le trajet. Les billets incluent souvent un court arrêt à la frontière pour le tamponnage. Vérifiez toujours les horaires, car ils peuvent changer.
Le Botswana est réputé pour son accueil chaleureux aux visiteurs. Politique en matière de visas : Les citoyens des pays de l'UE, des États-Unis, du Canada, de l'Australie et de nombreux autres pays (y compris tous les pays du Commonwealth) n'ont pas besoin de visa touristique pour des séjours de 90 jours maximum. Leur passeport doit être valide au moins six mois après la date d'arrivée et comporter au moins une page vierge. À l'entrée sur le territoire, les services d'immigration apposent un tampon sur le passeport indiquant la durée de séjour autorisée (parfois inférieure à 90 jours, selon l'itinéraire).
Les ressortissants de pays comme l'Inde, le Nigéria et le Pakistan ont besoin d'un visa. Il est généralement nécessaire de l'obtenir à l'avance (le Botswana ne délivre pas de visas à l'arrivée pour ces nationalités). Veuillez toujours vérifier les listes en vigueur auprès des sources officielles ou de l'ambassade du Botswana la plus proche.
Une preuve de votre voyage de continuation peut vous être demandée, et un billet retour est recommandé. Le Botswana n'applique actuellement aucune restriction d'entrée liée à la COVID-19 ; le port du masque et les tests ne sont pas obligatoires.
Fièvre jaune: Si vous arrivez d'un pays où la fièvre jaune est endémique (par exemple, certaines régions d'Afrique et d'Amérique du Sud), un certificat de vaccination contre la fièvre jaune en cours de validité est requis. Hormis cela, aucune vaccination spécifique n'est obligatoire, mais les vaccinations de base (tétanos, poliomyélite, etc.) doivent être à jour.
Aux points d'entrée (y compris les aéroports), les autorités peuvent vous demander le motif de votre visite, votre lieu de séjour et votre adresse. Il est donc conseillé d'avoir une réservation d'hôtel ou les coordonnées d'un hôte.
Douane: Le Botswana autorise des quantités raisonnables de tabac et d'alcool à usage personnel, mais applique des restrictions strictes sur les agrumes et les légumes (afin de prévenir les maladies). L'importation de marchandises illicites est fortement déconseillée ; la loi est appliquée avec rigueur. La réglementation des changes est souple : aucune restriction ne s'applique aux montants de pula entrant ou sortant, et aucun droit de douane n'est perçu sur les pula ou les devises étrangères.
Saviez-vous? "Île" (le nom de la monnaie du Botswana) signifie "pluie" ou "bénédiction" en Setswana. Sur un formulaire de visa ou un document officiel, vous remarquerez que la devise du Botswana est "Île" – ce qui témoigne de la valeur inestimable de la pluie (et des ressources) dans cette région aride.
Gaborone se situe dans une zone semi-aride. Il y a deux saisons principales: un été chaud et pluvieux (environ de novembre à mars) et un hiver plus frais et sec (d'avril à octobre).
Côté festivals et événements, planifier votre voyage autour de l'un d'eux peut être un atout. Fin août ou début septembre, Gaborone accueille la Semaine internationale de la musique et de la culture de Gaborone, une semaine de concerts, de théâtre et d'ateliers. Chaque année en octobre, le célèbre festival artistique Maitisong (musique, danse, humour) se déroule dans différents lieux de la ville. Si vous prévoyez votre voyage fin septembre, vous pourrez peut-être assister au défilé et aux célébrations de la fête nationale du Botswana, le 30 septembre. La ville commémore également le 30 mars (Journée nationale du Botswana) avec des événements civiques et des défilés.
Pour la plupart des voyageurs, l'hiver sec est idéal : températures modérées, ciel dégagé et hébergements facilement accessibles. Pensez toutefois à prévoir des vêtements à superposer, car les matinées peuvent être fraîches.
À Gaborone, l'offre d'hébergement est variée, allant des hôtels de luxe aux pensions économiques. Il est conseillé de réserver à l'avance pendant la haute saison (juin à août et pendant les périodes de festivals). Quartiers à privilégier :
Lors de votre choix, sachez que la circulation peut être dense le matin et le soir. Si vous prévoyez de visiter la ville, séjourner à Phakalane ou Game City implique des trajets quotidiens, mais les quartiers sont calmes. Pour plus de commodité, beaucoup optent pour un hôtel du centre-ville, près du Main Mall ou de Riverwalk.
Conseil d'initié : De nombreux hôtels de luxe font également office de casinos et de centres événementiels (témoignant de la culture locale du divertissement). Même si vous n'êtes pas joueur, des établissements comme l'Avani et le Metcourt proposent des piscines, des spas et des restaurants accessibles avec un forfait journalier ou une réservation.
Gaborone est une ville relativement compacte et facile à explorer. Voici vos options :
Appeler: Conseil aux voyageurs : Téléchargez une carte SIM locale (Mascom ou Orange) à l'aéroport. Même un forfait de données prépayé basique (à partir de 100 pesos pour 2 Go) vous permet d'utiliser Google Maps en temps réel et de commander des taxis via les services locaux. La connexion est rapide dans toute la ville.
Malgré sa taille modeste, Gaborone recèle plusieurs sites remarquables. Voici les incontournables :
Pour ceux qui visitent Gaborone pour la première fois, voici un résumé des incontournables. Si vous y passez quelques jours, prévoyez une promenade tranquille sur la rue principale et autour du barrage, une randonnée matinale jusqu'au sommet du Kgale et une après-midi au musée.
Bien que Gaborone soit une ville, la nature y est omniprésente. Les plaines arides qui l'entourent offrent un refuge idéal à la faune sauvage.
En bref, Gaborone peut servir de point de départ pour les amoureux de la nature : munissez-vous d’un répulsif anti-insectes et d’un bon appareil photo, et vous pourrez vivre plusieurs expériences d’observation de la faune sauvage sans vous éloigner du confort de la ville.
La scène artistique et les sites culturels de Gaborone reflètent l'identité et la créativité du Botswana :
En résumé, la culture de Gaborone est discrète mais riche. Passez un après-midi à flâner dans les centres d'art, et une soirée à un spectacle culturel ou dans un bar de jazz, et vous aurez un aperçu de l'âme du Botswana moderne.
Des centres commerciaux animés aux boutiques d'artisanat, Gaborone offre des possibilités de shopping pour tous les goûts :
Conseils d'achat : Au Botswana, la TVA (15 %) est exonérée pour les résidents, mais elle n'est pas remboursable pour les touristes. Cependant, les prix en pula sont souvent plus avantageux que pour des produits similaires en Afrique du Sud. Les distributeurs automatiques de billets dans les centres commerciaux délivrent à la fois la monnaie locale et, parfois, des rands. Les cartes de crédit sont acceptées dans la plupart des commerces et de nombreux restaurants ; il suffit d'en informer votre banque au préalable.
Conseil aux voyageurs : Artisanat Pour un produit authentiquement local, achetez directement auprès des producteurs. Privilégiez les paniers et les sculptures de Botswanacraft ou des coopératives villageoises plutôt que les étals touristiques. Certes, c'est un peu plus cher, mais vous soutenez les communautés locales et vous obtenez des produits authentiques.
La scène culinaire de Gaborone reflète à la fois les traditions du Botswana et les influences internationales. Voici quelques suggestions :
En résumé, Gaborone ne comblera pas les gourmets avec sa cuisine fusion, mais propose des repas copieux et des en-cas savoureux. On peut goûter à un peu de tout à pied : par exemple, prendre le petit-déjeuner chez Sanitas, déjeuner dans un buffet de centre commercial, savourer des vetkoek dans un stand de rue et dîner dans un restaurant culturel.
Au coucher du soleil, Gaborone s'anime doucement. La ville n'est pas réputée pour sa vie nocturne trépidante, mais on y trouve un mélange d'endroits tranquilles et d'autres plus animés.
Globalement, la vie nocturne à Gaborone est décontractée : prévoyez de discuter autour d'un verre, d'écouter des percussions ou des DJ en live, et peut-être de dîner tard. Les habitants sortent généralement tard – les soirées ne commencent pas avant 21 h. La sécurité est bonne en ville, mais les précautions d'usage restent de mise : ne montrez pas vos objets de valeur et prenez des taxis officiels tard le soir.
Gaborone peut divertir les enfants et les familles grâce à ses parcs et ses attractions éducatives :
En résumé, les parents ne trouveront pas un parc d'attractions, mais un mélange d'activités éducatives et de loisirs en plein air. L'astuce consiste à s'aventurer un peu au-delà du centre-ville : une excursion au sud vers les réserves naturelles ou à l'est vers les marchés ravira les enfants. De nombreux restaurants et hôtels à Gaborone accueillent les familles (chaises hautes, menus enfants).
Une semaine à Gaborone vous permettra de découvrir les incontournables du Botswana, au-delà de la ville. Voici quelques excursions à envisager :
Chacune de ces excursions peut être organisée par des voyagistes locaux ou en louant une voiture. Les excursions guidées incluent le transport et les commentaires (recommandés pour comprendre la signification des peintures rupestres). Pour une organisation économique et autonome, des bus desservent Francistown (avec un arrêt à Palapye), et des excursions en 4x4 sont possibles depuis la ville jusqu'à Mokolodi et Khama.
Si votre emploi du temps est flexible, faites coïncider votre visite avec l'un des incontournables culturels de Gaborone :
Pour connaître les événements, consultez le site web de l'office du tourisme du Botswana ou les annonces locales (par exemple). Le moniteur Vous pouvez consulter le site web du journal ou les pages Facebook de la communauté de Gaborone. Même si votre voyage ne coïncide pas avec un festival, sachez que la ville s'anime d'une énergie particulière à cette occasion ; n'hésitez pas à participer aux festivités locales auxquelles vous croiserez des participants.
Sécurité: Gaborone est l'une des capitales les plus sûres d'Afrique, mais comme toute ville, la vigilance reste de mise. La petite délinquance (vols, pickpockets) constitue le principal risque. Veillez toujours à bien sécuriser vos sacs et objets de valeur, surtout dans les zones fréquentées comme les marchés ou les centres commerciaux. À la nuit tombée, privilégiez les rues bien éclairées et animées ; le centre-ville et les principaux centres commerciaux sont régulièrement patrouillés. Évitez d'afficher ostensiblement votre richesse (bijoux de valeur ou grosses sommes d'argent liquide). Si vous utilisez un distributeur automatique de billets, choisissez ceux situés à l'intérieur des banques ou des centres commerciaux et gardez un œil sur votre portefeuille.
Les vols dans les véhicules (notamment sur les parkings) sont occasionnels. Ne laissez pas d'objets de valeur visibles dans votre voiture. Lorsque vous prenez un taxi, vérifiez l'identité du chauffeur (il est titulaire d'une licence et son numéro est affiché) et privilégiez la réservation d'un taxi depuis votre hôtel plutôt que d'en héler un dans la rue tard le soir.
Santé: L'eau du robinet à Gaborone est généralement potable (elle est chlorée), et la plupart des hôtels proposent de l'eau filtrée. Toutefois, si vous avez l'estomac sensible, privilégiez l'eau minérale en bouteille, facilement disponible dans les kiosques et les commerces. Faites bouillir l'eau si vous vous trouvez dans une zone reculée. Le Botswana étant aride, la protection solaire est essentielle toute l'année : appliquez de la crème solaire, portez un chapeau et buvez beaucoup d'eau.
Le risque de paludisme à Gaborone même est très faible. Il n'est pas nécessaire de prendre des médicaments antipaludiques uniquement pour la ville. Si vous voyagez au nord de Gaborone (par exemple à Moremi, Chobe ou dans la région du « panhandle » namibien), consultez un médecin au sujet d'une prophylaxie.
Vaccinations : Assurez-vous que vos vaccins de routine (tétanos, rougeole, etc.) sont à jour. Le vaccin contre la fièvre jaune est obligatoire uniquement si vous revenez d’un pays où la maladie est endémique. Il n’y a pas d’exigences vaccinales spécifiques pour les autres destinations, mais les voyageurs envisagent souvent la vaccination contre l’hépatite A et la typhoïde.
Soins médicaux : Gaborone possède de bons hôpitaux (l’hôpital public Princess Marina est le principal, et il existe des cliniques privées comme Bokamoso et l’hôpital privé de Gaborone). Si vous avez besoin d’ordonnances, la chaîne de pharmacies Medox et La plateforme Les magasins d'alimentation y sont bien approvisionnés. Il est prudent de souscrire une assurance voyage couvrant l'évacuation médicale, par précaution.
En cas d'urgence : composez le 999 pour la police, le 997 pour les ambulances et le 998 pour les pompiers. (Sur un téléphone portable, le 112 fonctionne également). Notez les numéros de téléphone de l'ambassade ou du consulat de votre pays ; les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Union européenne et de nombreux autres pays ont des représentations ici. Pour les urgences, conservez une liste de contacts locaux (agence de voyages, réception de l'hôtel).
Risques sanitaires liés à la vie urbaine : On trouve des scorpions et des araignées, mais les rencontres graves sont rares. Des phlébotomes (insectes ressemblant à des moustiques) sont présents la nuit ; par précaution, utilisez un répulsif anti-moustiques dans les logements non climatisés.
Trafic: Si vous conduisez la nuit en dehors des villes, soyez prudent : il arrive que du bétail ou des animaux sauvages s’aventurent sur les routes de campagne. Attachez toujours votre ceinture de sécurité. Dans les taxis, le port de la ceinture est obligatoire à l’avant, mais il se peut qu’elle ne soit pas équipée à l’arrière ; soyez vigilant.
Conseil d'étiquette : Ayez toujours sur vous une photocopie de la page d'identité de votre passeport, séparée de l'original, comme le recommande le Département d'État américain. Les locaux conseillent souvent aux visiteurs de conserver une copie à leur hébergement et d'en emporter une autre, plutôt que de risquer de perdre leur passeport.
En prenant les précautions élémentaires, Gaborone est une ville facile d'accès pour les touristes. Grâce aux infrastructures de santé et aux pharmacies, vous n'aurez que rarement à vous inquiéter. En journée, explorez la ville à votre guise ; la nuit, soyez prudent. La réputation du Botswana comme « coin le plus sûr d'Afrique » se vérifie généralement dans sa capitale.
La monnaie du Botswana est le pula (BWP), divisé en 100 thebe. Le nom « pula » souligne l'importance de la pluie (« bénédiction ») dans ce pays aride. Le taux de change actuel (novembre 2025) est d'environ 1 USD = 13,2 pulas (le pula s'échange à environ 0,074 USD). Les bureaux de change à l'aéroport ou dans les centres commerciaux acceptent les principales devises étrangères (USD, EUR, GBP, ZAR) et effectuent les paiements en pulas.
Les distributeurs automatiques de billets sont omniprésents : vous en trouverez dans toutes les banques (BoB, Barclays, First National Bank, Stanbic) et dans les centres commerciaux comme Riverwalk et Game City. Ils distribuent des pulas (et souvent des rands dans certains cas). Les cartes Visa/Mastercard internationales fonctionnent généralement, mais il est conseillé d'informer votre banque de votre voyage afin d'éviter les blocages. Les cartes sans frais (comme celles proposées par certaines banques internationales) sont particulièrement utiles, car les frais bancaires peuvent être élevés. Prévoyez de la petite monnaie : les chauffeurs de taxi n'ont pas toujours de monnaie pour un billet de 100 pulas pour une course de 15 pulas.
À Gaborone, les prix sont généralement plus élevés qu'en Afrique rurale, mais moins élevés que dans les centres urbains d'Afrique du Sud. Pour vous donner une idée de votre budget : un repas correct au restaurant, avec une boisson, coûte entre 80 et 150 pesos par personne. La nourriture de rue et les fast-foods peuvent coûter entre 15 et 30 pesos. Une bouteille d'eau coûte environ 5 pesos et une bière locale entre 10 et 15 pesos. Pour un voyageur aux moyens modestes, le budget journalier, incluant un hôtel de catégorie moyenne, les repas et les transports, est d'environ 500 à 700 pesos (environ 40 à 50 dollars). Prévoyez un budget plus important si vous souhaitez manger et faire du shopping dans des établissements de luxe. Les hôtels, notamment à Phakalane, et les lodges proposent des chambres doubles à partir de 800 à 1 500 pesos la nuit (petit-déjeuner souvent inclus).
Pourboire : Le pourboire n'est pas obligatoire, mais il est apprécié. Au restaurant, des frais de service de 5 à 10 % sont parfois ajoutés ; sinon, un pourboire de 10 % pour un bon service est de mise. Les guides et les chauffeurs apprécieront tout petit pourboire (quelques pulas par personne et par jour).
Tarification : Certains habitants utilisent indifféremment le rand sud-africain (surtout dans les villes frontalières) – 1 ZAR ≈ 1,0 BWP (leur valeur est à peu près égale actuellement). Cependant, à Gaborone, privilégiez le pula ; de nombreux commerces acceptent encore le rand ou le dollar américain à un taux fixe. N'hésitez pas à vérifier le prix et la devise avant d'effectuer un achat.
Coûts et négociation : La plupart des magasins pratiquent des prix fixes. Sur les marchés, le marchandage est de mise : proposez une réduction de 20 % et négociez. Le troc est une pratique courante pour l’artisanat. En revanche, les hôtels, les restaurants et les taxis officiels appliquent des tarifs fixes.
Conseil pour économiser : Faire ses courses sur les marchés ou acheter dans des coopératives permet de faire des économies. Les fruits et légumes frais ainsi que la viande coûtent bien moins cher sur les marchés de la ville (comme le marché du village le dimanche) qu'en supermarché. Si vous cuisinez ou pique-niquez de temps en temps, vous constaterez des économies.
Pour l'électronique (appareils photo, téléphones), les prix peuvent être élevés en raison des coûts d'importation ; il est conseillé de les acheter localement. Les cartes SIM prépayées coûtent environ 40 pence avec données et sont faciles à trouver : les réseaux comme Mascom et Orange offrent une bonne couverture LTE dans toute la ville.
Les langues officielles du Botswana sont l'anglais et le setswana (aussi appelé tswana). À Gaborone, l'anglais est la langue dominante dans les affaires, l'administration et l'éducation ; vous pourrez donc vous débrouiller partout en parlant anglais. La signalétique est généralement en anglais.
Cependant, apprendre quelques expressions tswana vous permettra de vous faire apprécier des locaux. Salutations courantes : "Croire" (« Bonjour » en Setswana). La réponse polie est "Où est-il?" (« Comment allez-vous ? »). « Ke a leboga » signifie « merci », et « Tsamaya sentle » signifie « bon courage » (un au revoir). Même ces petites attentions témoignent de respect. De nombreux jeunes connaissent également le zoulou ou le shona (en raison des liens régionaux), et les locuteurs d’afrikaans communiquent souvent en afrikaans ou en anglais.
Étiquette: – Se serrer la main est la norme pour les présentations. Utilisez généralement la main droite (la courtoisie traditionnelle recommande de ne pas toucher avec la gauche). Une poignée de main ferme et un contact visuel sont de mise. Les personnes âgées du Botswana peuvent hocher la tête ou se serrer la main respectueusement. – La hiérarchie a son importance : saluez d’abord la personne la plus âgée ou la plus haut placée. Si vous êtes en réunion, attendez d’être présenté à une personne de statut supérieur (titre « Kgosi » pour les chefs tribaux, « Mma » ou « Rra » pour les aînés respectés). – Adoptez une tenue vestimentaire modeste. En ville, une tenue décontractée chic est appropriée. Lors des offices religieux ou dans les administrations, il est conseillé aux femmes de se couvrir les épaules et aux hommes de porter un pantalon long. Les tenues de plage sont réservées aux piscines des hôtels, et non aux promenades en ville. – Photographie : demandez la permission avant de photographier des personnes, en particulier des enfants, sur les marchés ou dans les zones rurales. De nombreux habitants souriront si vous leur demandez. La photographie des bâtiments gouvernementaux et des installations militaires est parfois soumise à restrictions ; en cas de doute, consultez les affiches ou interrogez un responsable.
Normes sociales : La société botswanaise est calme et accueillante. Les démonstrations d'affection en public sont rares. Les gens ne sont généralement pas pressés ; par exemple, faire la queue est une chose sérieuse. Interrompre quelqu'un ou hausser le ton est considéré comme impoli. Respectez l'espace personnel en évitant de vous coller aux autres dans les files d'attente ou les lieux publics. Jeter des déchets par terre est illégal (amende de 200 pula sur-le-champ) et culturellement mal vu ; utilisez les poubelles, qui sont nombreuses en ville.
Religion: Le Botswana est un pays religieusement diversifié (principalement protestant, avec des confessions comme l'anglicanisme et le pentecôtisme bien représentées, ainsi qu'une minorité musulmane). Les offices religieux du dimanche sont fréquents et de nombreux commerces ferment ou ont des horaires réduits le dimanche matin. Si vous vous rendez à l'église (pour assister à un concert de chorale ou être accompagné par un chœur, ce qui est courant en ville), veuillez porter une tenue correcte et faire preuve de respect envers les fidèles.
Douane: – La ponctualité est appréciée dans le milieu professionnel. Les Botswanais disent « Hora ya Botswana » pour signifier « l'heure du Botswana » (horaires flexibles), mais en tant que visiteur, il est préférable d'être à l'heure aux réunions ou aux visites. – N'entrez pas dans une maison avec vos chaussures (si vous êtes invité chez un Botswanais, vérifiez si les autres se déchaussent à l'entrée). – Si vous êtes invité à dîner, il est poli de goûter à tout ce qui est proposé ; dans de nombreuses familles, refuser un repas trop tôt peut être mal vu.
Langues: Pour ceux que cela intéresse, l'alphabet et la prononciation du setswana sont phonétiques et simples. Les stations de radio (comme Yarona FM et Gabz FM) diffusent en tswana et en anglais, ce qui permet d'apprécier le rythme et la musicalité de la langue. Les habitants sont fiers de leur capacité à passer d'une langue à l'autre avec aisance, témoignant de l'ouverture d'esprit du Botswana.
Les « quartiers » de Gaborone sont souvent décrits par districts ou zones, chacun ayant son propre caractère :
Lors de vos explorations, tenez compte du plan en damier de Gaborone : rues est-ouest (numérotées) et rues nord-sud (également numérotées). Grâce à ce plan, il est difficile de s'y perdre. Le centre-ville est organisé de manière logique (par exemple, l'avenue Kobis, le croissant Khama). En dehors des circuits touristiques, la plupart des voyageurs se contentent de faire des allers-retours entre le quartier central des affaires, les centres commerciaux et quelques banlieues. Mais pour une immersion totale, prenez un taxi jusqu'à une rue de Broadhurst ou un combi jusqu'à un centre commercial local : c'est une excellente façon d'observer la vie quotidienne.
Les excursions organisées peuvent enrichir votre séjour, notamment sur les plans culturel et d'aventure. Voici comment procéder :
Réserver avec un guide favorise l'emploi local et garantit une expérience plus enrichissante. Par exemple, lors d'une visite de village, un guide vous racontera l'histoire des migrations tribales ou vous apprendra la bonne façon de saluer en serrant la main. Ce contexte est souvent négligé lorsqu'on voyage seul.
Quelles sont les principales attractions de Gaborone ? Parmi les incontournables, citons le monument des Trois Dikgosi (trois chefs en bronze), le Musée national et la Galerie d'art, ainsi que la randonnée panoramique de la colline de Kgale. Ne manquez pas une promenade sur la Main Mall (rue piétonne) et une visite de la réserve ornithologique du barrage de Gaborone. Faire du shopping au River Walk Mall et flâner parmi les stands de BotswanaCraft vous permettra de découvrir l'artisanat local. À proximité, la réserve naturelle de Mokolodi et la réserve animalière de Gaborone sont des haltes idéales pour observer la faune.
Gaborone est-elle une ville sûre pour les touristes ? Oui. Gaborone est généralement une ville sûre et accueillante. Les vols à la tire sont possibles, alors restez vigilant. Privilégiez les taxis officiels la nuit et évitez les quartiers isolés après la tombée de la nuit. Le taux de criminalité y est faible comparé à de nombreuses capitales. Les commissariats sont accessibles et la ville est bien éclairée. Les incidents violents impliquant des étrangers sont très rares. Adoptez les règles de sécurité élémentaires (mettez vos objets de valeur en sécurité, ne vous promenez pas seul(e) tard le soir dans des quartiers que vous ne connaissez pas).
Comment puis-je me rendre à Gaborone depuis Johannesburg ? Le moyen le plus rapide est un vol d'une heure de Johannesburg à l'aéroport international Sir Seretse Khama (GBE). Sinon, les bus confortables d'InterCape proposent des trajets de nuit ou de jour entre Johannesburg/Pretoria et Gaborone (7 à 8 heures de trajet, passage de la frontière inclus). Il est également possible de s'y rendre en voiture via la frontière de Ramatlabama (environ 360 km, 4 à 5 heures). Il n'y a pas de train. Le bus est bon marché et très apprécié des locaux ; les compagnies aériennes proposent parfois des promotions en cas de réservation anticipée.
Quelle est la meilleure période pour visiter Gaborone ? Les mois secs d'hiver (de mai à septembre) sont idéaux : journées chaudes (environ 25 °C), nuits fraîches et quasi-absence de pluie. Juillet et août offrent le climat le plus agréable. Attention, juin à août correspondent à la haute saison touristique (surtout pour les safaris), il est donc conseillé de réserver à l'avance. La saison des pluies (de novembre à mars) apporte des orages en fin d'après-midi et des paysages luxuriants, mais aussi des températures plus élevées. Si vous prévoyez principalement des activités en ville (shopping, visites), les différences saisonnières concernent surtout vos vêtements (emportez un imperméable en été et un pull en hiver).
Quels sont les meilleurs hôtels de Gaborone ? Parmi les meilleurs choix figurent les Avani (anciennement Cresta) Gaborone Resort & Casino pour le luxe et l'emplacement, Métro Peermont (Game City) pour les suites familiales, et Suites Sunrise (Phakalane) pour les commodités du complexe de golf. Les favoris de milieu de gamme sont Suites exécutives de Bakwena et Hôtel Protea by MarriottPour les séjours à petit budget, L'auberge Bunker ou Maison d'hôtes hybride Ils proposent des chambres propres à bas prix. De nombreux hôtels appliquent des tarifs Pula pour les chambres individuelles, ce qui permet souvent aux couples de bénéficier d'un prix plus avantageux par personne.
Comment se déplacer à Gaborone ? Les taxis sont nombreux et équipés de compteurs ; il suffit d’en héler un ou de demander au personnel de votre hôtel d’appeler une compagnie fiable (Gaborone Radio Taxi). Les minibus (combins) suivent des itinéraires fixes mais sont souvent bondés. Louer une voiture vous offre une grande liberté (n’oubliez pas de conduire à gauche). Le centre-ville se parcourt facilement à pied (on peut aller de Main Mall à River Walk sans problème). Uber n’est pas disponible, mais vous pouvez commander un VTC via des applications locales ou en contactant les compagnies de taxis par WhatsApp.
Quels plats locaux devrais-je goûter ? Ne manquez pas le seswaa (bœuf effiloché mijoté avec du pap) – c'est le plat emblématique du Botswana. Goûtez-y ! légume (Épinards sauvages locaux), soupe au beurre de cacahuète et pain vetkoek. Dégustez des viandes grillées dans un « drinkyard » (aire de barbecue en plein air). Pour une expérience unique, goûtez aux vers mopane séchés (une collation protéinée croquante). Au restaurant, commandez un café chaud à la botswanaise (café moulu, lait et cannelle) pour compléter votre dégustation.
Existe-t-il des réserves fauniques près de Gaborone ? Oui. À l'intérieur de la ville se trouve le Réserve de gibier de Gaborone (rhinocéros, antilopes, oiseaux). À environ 15 minutes de là se trouve Réserve naturelle du créancier (safaris, programme d'observation des guépards). Plus loin (à quelques heures de route) se trouvent les Sanctuaire des rhinocéros de Khama à l'est et Moremi/Khwai Plus au nord (mais cela demande plus d'organisation). La région du barrage de Gaborone est idéale pour l'observation des oiseaux. De courtes excursions guidées permettent d'y accéder en une journée.
Où puis-je trouver de l'artisanat local ? Rendez-vous chez Botswanacraft en ville pour découvrir une large sélection d'objets artisanaux de qualité (paniers tressés, sculptures, perles). Centre commercial principal et Promenade au bord de la rivière On y trouve de petites boutiques de souvenirs. Le week-end, des artisans installent leurs étals sur la place River Walk ou au marché du dimanche de WhySo. Les villages aux alentours (Manyana, centre artisanal de Mokolodi) proposent également des produits artisanaux authentiques. Parmi les articles à prix avantageux, on trouve des nattes tissées à la main et des bijoux en perles de cuir.
Quel est le climat à Gaborone ? Le climat est semi-aride : étés chauds (octobre à mars) avec des pluies saisonnières et hivers plus doux et secs (avril à septembre). Les températures moyennes diurnes varient d'environ 15 °C (nuit d'hiver) à 35 °C (journée d'été). L'humidité est généralement faible. Les mois les plus frais sont juin et juillet, souvent sous un ciel bleu et ensoleillé. De novembre à mars, des orages éclatent l'après-midi. Il est toujours conseillé de consulter les prévisions météorologiques à l'avance ; Gaborone peut connaître des inondations soudaines et importantes en été.
Quels sont les festivals organisés à Gaborone ? Les événements majeurs comprennent le Festival des arts de Maitisong (Octobre, arts de la scène à l'échelle de la ville) et le Semaine internationale de la musique et de la culture de Gaborone (Fin août, concerts et activités culturelles). La Journée du Botswana (30 mars) et la Fête de l'Indépendance (30 septembre) sont célébrées par des défilés en ville. Le marché mensuel WhySo du dimanche (tous les dimanches matin) est un événement local récurrent proposant musique et artisanat. Prix musicaux de Yarona FM (L'été) met à l'honneur les artistes pop du Botswana. Consultez les programmes locaux pour connaître les concerts impromptus et les événements organisés pendant votre séjour.
Quels numéros d'urgence dois-je connaître ? Au Botswana : Police : 999, Ambulance : 997, Pompiers : 998Le 112 est un bon numéro d'urgence valable pour tous les réseaux. Pour les soins médicaux, l'hôpital principal est l'hôpital Princess Marina (+267-371-1400). Il est conseillé d'avoir les coordonnées de votre ambassade ; par exemple, l'ambassade des États-Unis à Gaborone : +267-395-3982. Enregistrez ces numéros dans votre téléphone ou dans un carnet de voyage.
Quelles sont les coutumes locales ? Soyez poli et patient. Saluez les commerçants et vos voisins en disant « Dumela » en Setswana. En public, il est de bon ton d'adopter un comportement calme et réservé. Le pourboire est apprécié au restaurant (10 %). Retirez toujours vos chaussures si vous êtes invité chez un Tswana (vous en trouverez à l'entrée). Évitez de manger ou de boire de la main gauche (bien que peu de locaux appliquent strictement cette règle). À table, attendez que votre hôte vous propose de vous asseoir. Si vous êtes invité à un Kgotla (lieu de réunion public) ou à un événement communautaire, levez-vous lorsque les aînés prennent la parole et ne les interrompez pas.
Comment puis-je changer de l'argent à Gaborone ? On trouve des distributeurs automatiques de billets partout, distribuant des pulas au taux de change actuel (1 USD ≈ 13,2 P). Les bureaux de change des aéroports et des centres commerciaux échangent les dollars américains, les euros ou les rands contre des pulas (leurs taux sont compétitifs). Les cartes de crédit (Visa/Mastercard) sont acceptées dans les grands hôtels, les magasins et les restaurants ; American Express est moins fréquemment acceptée. Prévoyez d’avoir un peu d’argent liquide sur vous pour les taxis et les petits commerçants.
Existe-t-il une connexion internet fiable ? Oui. Le Wi-Fi est gratuit dans la plupart des hôtels, ainsi que dans de nombreux cafés et restaurants. La connexion mobile est rapide grâce à la 4G LTE. Les débits à Gaborone sont comparables à ceux de nombreuses villes du monde. Si vous avez besoin d'une connexion internet permanente, achetez une carte SIM locale avec forfait de données : la couverture est excellente en ville et l'itinérance vers les pays voisins (Afrique du Sud, Namibie) fonctionne parfaitement pour les courts trajets.
Quelles langues sont parlées ? L'anglais et le setswana sont les langues officielles. On y parle aussi, à des degrés divers, le kalanga, le ndébélé, le tshivenda et l'afrikaans. En pratique, l'anglais suffit à Gaborone. Cependant, certains vendeurs ou habitants des zones rurales ne parlent parfois que le tswana. Apprendre quelques salutations de base en setswana (Dumela, Dumelang = bonjour à une/plusieurs personnes) est très apprécié et permet d'obtenir des réponses chaleureuses.
Comment réserver des visites guidées ? De nombreuses excursions peuvent être organisées à votre arrivée. Les réceptions d'hôtel ou les agences de voyages, par exemple, peuvent vous renseigner. Visites guidées de Gaborone Il est possible de réserver toutes sortes d'activités, des visites de ville aux safaris. Pour les parcs du Botswana, il est conseillé de réserver plusieurs semaines à l'avance par e-mail ou via des sites web spécialisés (par exemple, roemadors.com pour les safaris en camping mobile). Des forfaits (vol + lodge) sont également proposés par les voyagistes. Vous pouvez aussi vous adresser aux offices de tourisme locaux (Botswana Tourism) qui pourront vous orienter vers des guides agréés.
Quelle est la tension du courant électrique ? Au Botswana, le courant alternatif est de 230 V et les prises sont de type britannique (type G). Si vous possédez des appareils américains ou européens, munissez-vous d'un adaptateur universel et assurez-vous que vos chargeurs acceptent une tension de 220-240 V (la plupart des chargeurs de téléphone et d'ordinateur portable le font). En cas de besoin, de nombreux hôtels mettent à disposition des sèche-cheveux et des fers à repasser ; renseignez-vous avant d'emporter des appareils encombrants.
Existe-t-il des activités adaptées aux familles ? Oui, outre les parcs et réserves (voir ci-dessus), la ville dispose d'aires de jeux (parc Kgale) et propose des dîners-buffets familiaux dans les hôtels (certains dimanches, des fêtes à thème sont organisées pour les enfants). Le Stade national accueille occasionnellement des événements pour les enfants. Les cinémas, les bowlings et les centres commerciaux avec aires de jeux sont d'excellentes options pour les jours de pluie. La bibliothèque pour enfants Karabo Moruakgomo (située à la Bibliothèque nationale) propose même des salles de lecture et des activités pour les enfants.
Quelle est l'histoire de Gaborone ? En bref : Gaborone a été fondée en 1964 lorsque le protectorat britannique y a transféré sa capitale. Elle a été nommée en l’honneur du chef Gaborone du peuple BaTlokwa. Le Botswana a accédé à l’indépendance en 1966. Depuis, Gaborone est passée d’un avant-poste colonial poussiéreux à une ville dynamique, grâce à la richesse diamantifère. Parmi les sites historiques importants figurent le bâtiment du Parlement datant de l’indépendance et les récits inspirants du Musée national. Pour une histoire plus détaillée, visitez les expositions du musée consacrées à la vie précoloniale et aux débuts de l’indépendance.
En s'imprégnant du mélange de cultures de Gaborone, les voyageurs découvrent l'âme du Botswana, au-delà des safaris en jeep. C'est une ville où la courtoisie et la fierté du patrimoine se mêlent harmonieusement aux aspirations à la modernité. Le succès de la démocratie et du développement du Botswana se ressent dans la sérénité qui règne dans sa capitale. Explorez avec patience, écoutez avec respect, et vous reviendrez avec une compréhension nuancée de cette ville en plein essor en Afrique australe.
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