Croisière en équilibre : avantages et inconvénients
Les voyages en bateau, notamment en croisière, offrent des vacances uniques et tout compris. Pourtant, comme pour tout type de voyage, il y a des avantages et des inconvénients à prendre en compte…
En 2025, experts et voyageurs ont renouvelé la quête ancestrale du paradis en analysant des milliers d'avis et de votes afin d'établir la liste définitive des plus belles plages du monde. Ce classement, établi par l'organisation The World's 50 Best Beaches (via plus de 1 000 professionnels du voyage) et basé sur des millions d'avis d'utilisateurs, met en lumière dix rivages qui enchantent constamment les visiteurs. Ce guide associe les résultats de ces sondages d'experts à des informations de terrain et des détails pratiques. Nous commençons par dévoiler chacun des 10 meilleurs, des criques historiques d'Europe aux îles tropicales paradisiaques, en expliquant ce qui fait leur renommée et comment profiter au maximum d'une visite. Les sections suivantes décodent les méthodologies de classement, mettent en lumière les plages phares régionales, classent les plages selon les besoins des voyageurs (familles, surfeurs, amateurs de faune, etc.) et offrent des conseils de planification concernant les horaires, les coûts et l'accès. Tout au long du guide, nous soulignons l'importance de la conservation – de nombreuses plages de premier ordre doivent leur statut à des protections strictes et à des limites de fréquentation – et encourageons un tourisme responsable. Le résultat est un récit approfondi et équilibré qui informe les lecteurs sur ces lieux extraordinaires et sur la meilleure façon de les découvrir.
Perchée sur la côte est de la Sardaigne, dans le golfe d'Orosei, Cala Goloritze est célèbre pour ses eaux turquoise cristallines et son spectaculaire paysage calcaire. L'office du tourisme italien a noté que cette crique isolée a été nommée meilleure plage du monde en 2025. Son point fort est une fine aiguille calcaire (Monte Caroddi, ou Aguglia) d'environ 148 mètres de haut, formée en 1962 par un glissement de terrain massif de la montagne située derrière, qui a précipité des rochers dans la mer. Ce même événement a fermé une vallée montagneuse, créant l'étroite plage qui se trouve entre les falaises et la mer. Les falaises abruptes s'élèvent directement du sable, et les surfaces rocheuses brillent d'or à la lumière de fin d'après-midi. En contrebas s'étend une étroite bande de sable blanc et doux, baignée par une vague claire et peu profonde. La végétation environnante est typique du maquis méditerranéen : d'épais bosquets de chênes verts, d'arbousiers et de genévriers s'accrochent aux pentes abruptes. Au printemps, le maquis peut fleurir, avec des orchidées ou des cyclamens, au milieu du maquis, ajoutant de la couleur au décor rocheux. Une arche et une petite grotte à l'extrémité de la baie invitent les nageurs aventureux à l'explorer depuis le sable. La mer bleu ciel, les imposantes parois rocheuses et le maquis verdoyant confèrent à Cala Goloritze un caractère presque mythique ; comme l'a dit un guide italien, un « sentiment de magie » imprègne les lieux.
Cala Goloritze reste remarquablement préservée grâce à son inaccessibilité et à ses protections. Aucune route ne mène à cette crique ; les visiteurs doivent y accéder à pied ou en bateau. Le seul itinéraire terrestre est un sentier escarpé de 500 mètres qui descend de la haute crête du Supramonte (une partie du célèbre trek Selvaggio Blu en Sardaigne). La descente dure généralement plusieurs heures, et la remontée est plus ardue. Les voiliers et les canots pneumatiques peuvent atteindre la baie, mais l'accostage est interdit. De fait, la réglementation nautique exige que tous les navires restent à au moins 200 mètres du rivage, derrière des bouées, et les randonneurs sont désormais tenus de réserver leur visite à l'avance. Ces mesures limitent l'affluence quotidienne. En pratique, seuls ceux qui sont prêts à faire l'effort peuvent accéder à la plage, et même en plein été, la plage ne semble jamais aussi bondée que sur les côtes sardes plus accessibles.
La plage est dépourvue d'installations. Un maître-nageur peut assurer la surveillance en haute saison, mais sinon, la nature elle-même est le seul signe de présence humaine. Les plongeurs avec tuba et bouteille profitent d'une vue imprenable sur les fonds rocheux, où abondent les espèces de poissons méditerranéens. Au-dessus, les mouettes et les cormorans tournent souvent autour de la falaise, et en saison, on peut même apercevoir des aigles ou des faucons pèlerins survolant les courants ascendants au-dessus du Supramonte. Le coucher de soleil sur la flèche calcaire et la baie est particulièrement saisissant face aux collines de l'intérieur de la Sardaigne. À la tombée de la nuit, la crique est plongée dans l'obscurité et le silence, renforçant l'impression d'un lieu sauvage, presque sacré.
Au-delà du tourisme, Cala Goloritze est devenue un symbole de l'arrière-pays sauvage de la Sardaigne. Le site est officiellement protégé depuis longtemps : il a été déclaré Monument naturel régional en 1993 (et classé au niveau national en 1995), témoignant de sa géologie et de son écologie exceptionnelles. La loi interdit de retirer des pierres, des plantes ou des coquillages de la crique, sous peine de sanctions. Des gardes forestiers patrouillent occasionnellement la zone. Cette réglementation stricte, ainsi que le sentier d'accès guidé, contribuent à préserver la limpidité des eaux et la beauté naturelle intacte.
L'accès à Cala Goloritze nécessite une certaine planification. Le départ du sentier se situe sur les collines surplombant Baunei, un village situé à environ 15 km à l'intérieur des terres. Les randonneurs descendent environ 3 à 4 km pour atteindre la plage (le dénivelé est d'environ 470 m). Bien que non goudronné et rocailleux, le sentier est bien balisé ; de nombreux guides indiquent qu'il faut compter 2 à 3 heures pour la descente et un peu plus longtemps pour la remontée, surtout par temps chaud. Par beau temps, un petit bateau-taxi peut être disponible depuis le port voisin de Santa Maria Navarrese jusqu'à un point de débarquement près des bouées, mais la plupart des visiteurs se déplacent à pied. Il est conseillé de prévoir beaucoup d'eau, une protection solaire et de bonnes chaussures. Le soir, après le départ des derniers randonneurs, la crique se vide sous les étoiles jusqu'aux premières lueurs de l'aube.
Le système de réservation mis en place ces dernières années permet de gérer l'affluence. Les randonneurs doivent réserver un permis au moins trois jours à l'avance. Les nageurs arrivant en bateau doivent mouiller derrière les bouées de protection, à 200 mètres du rivage. Ce système permet de maintenir une fréquentation soutenue et de préserver la tranquillité de la baie, même en haute saison.
En résumé, Cala Goloritze illustre comment une préservation rigoureuse alliée à la splendeur naturelle peut donner naissance à une plage quasi parfaite. Le fruit des efforts déployés pour l'atteindre est une baie sereine, toujours aussi sauvage et magnifique, confirmant sa renommée parmi les plus belles plages du monde.
Elafonissi se trouve à l'extrémité sud-ouest de la Crète, reliée au continent par un banc de sable incurvé qui crée un lagon peu profond. Sa particularité est son sable rosé qui, au soleil, donne à la plage une teinte rosée. Cette teinte inhabituelle provient de minuscules fragments de coraux et de coquillages qui se mélangent au sable clair pour teinter le rivage (TripSavvy précise que la majeure partie du sable est en fait constituée de coquillages broyés). Les eaux translucides peu profondes derrière le banc de sable peuvent atteindre des dizaines de mètres de profondeur jusqu'aux genoux ; patauger vers le petit îlot de l'autre côté du lagon donne l'impression de marcher sur du verre. Des eaux turquoise viennent lécher doucement les bords de la plage rosée, et sous un soleil éclatant, le paysage prend des allures presque caribéennes. D'ailleurs, les prix Tripadvisor 2025 ont classé Elafonissi meilleure plage au monde, la faisant ainsi sortir du lot.
Le nom « Elafonissi » signifie « île aux cerfs », un héritage de la faune de l'île. Aujourd'hui, l'îlot et le banc de sable forment une réserve naturelle protégée (appartenant au réseau Natura 2000 de l'UE). Des passerelles et des promenades en bois empêchent les visiteurs d'accéder aux dunes fragiles, où fleurissent tamaris et jonquilles de mer. Les tortues caouannes (Caretta caretta) nichent sur le sable d'Elafonissi ; Elafonissi abrite d'ailleurs de nombreux nids de tortues menacées de Crète. Chaque nuit d'été, des nids marqués éclosent et les nouveau-nés dévalent la plage jusqu'à la mer. Des panneaux avertissent les baigneurs de se tenir à l'écart des zones de nidification. La loi grecque interdit formellement de retirer coquillages, rochers ou plantes de la plage, une mesure qui contribue à préserver l'état naturel de ce rare rivage de sable rose.
Pour rejoindre Elafonissi, il faut parcourir un long trajet en voiture depuis La Canée, la ville principale (environ 75 km), par une route de montagne sinueuse. De nombreux touristes optent pour des excursions organisées ou des navettes, mais les voyageurs aventureux peuvent conduire eux-mêmes ou louer une voiture. Vers midi, les parkings de la petite île et du continent peuvent être complets, de sorte que la route peut devenir à sens unique. Une courte passerelle en bois et un sentier de sable mènent ensuite du parking au lagon. L'accès est facile par une promenade en bois (visible au loin sur la photo ci-dessus) une partie de l'année. En haute saison, une navette ou un ferry relie le parking au banc de sable pour les personnes âgées ou handicapées ; autrement, la plupart des visiteurs parcourent les quelques centaines de mètres à pied.
En milieu d'après-midi, par une journée d'été, Elafonissi peut être bondée, et les baigneurs doivent s'organiser en conséquence. Quelques kiosques et tavernes simples près du banc de sable vendent boissons et en-cas, mais de nombreuses familles viennent avec un panier-repas. Les installations sont rudimentaires : toilettes, douches d'eau douce et tables de pique-nique ombragées près du parking, mais aucune sur le sable. Arriver tôt ou tard permet une ambiance plus détendue. Même aux heures de pointe, la grande superficie du lagon permet aux baigneurs d'être dispersés ; on trouve souvent un endroit plus calme plus près de l'îlot ou sous un tamaris.
Les eaux peu profondes du lagon sont exceptionnellement chaudes et tranquilles, idéales pour les familles. Les enfants pataugent librement dans des eaux jusqu'aux genoux et à la taille sur des dizaines de mètres. La plongée avec tuba depuis le banc de sable permet d'observer de petites raies, des poissons-perroquets colorés et d'autres espèces de récifs. Plus loin de la plage, quelques bancs de sable apparaissent à marée basse ; au-delà, l'eau devient plus profonde. La chaussée reliant l'îlot est submergée à marée haute, donnant à Elafonissi des airs de refuge insulaire deux fois par jour. Les jet-skis et les bateaux sont interdits dans le lagon, préservant ainsi la tranquillité de l'endroit. Le soir, le soleil couchant teinte le sable rose d'un or éclatant, tandis que ses reflets ondulent sur la mer calme.
La beauté sauvage d'Elafonissi est soigneusement gérée. Un petit kiosque de bénévoles, près du banc de sable principal, fournit des informations sur la réserve. Un garde forestier ou un soldat patrouille parfois pour rappeler les règles aux visiteurs. Pourtant, l'impression générale est celle d'une douce et insouciance. Il y a dix ans, cet endroit était presque désert ; aujourd'hui, il est emblématique, tout en restant relativement préservé. C'est pourquoi Elafonissi figure souvent parmi les plus belles plages du monde.
Eagle Beach, sur la côte sud-ouest d'Aruba, est une vaste étendue de sable blanc poudreux aux courbes douces, baignée par une mer d'un bleu cristallin. Elle est régulièrement classée parmi les plus belles plages des Caraïbes : en 2025, TripAdvisor l'a nommée « Meilleure plage des Caraïbes ». Cette vaste plage est connue pour ses deux arbres emblématiques, les Divi-Divi (Fofoti), des palmiers bas et courbés par le vent qui se détachent près de la ligne des dunes. Ces arbres emblématiques (photo ci-dessus), sculptés par les alizés pour s'incliner vers l'ouest, encadrent aujourd'hui de magnifiques couchers de soleil. Sous la brise calme et le soleil radieux, le sable d'Eagle Beach conserve un blanchâtre éclatant.
Le sable est très fin et doux, composé principalement de grains de carbonate qui restent frais sous les pieds même en plein midi. Le littoral descend en pente douce vers la mer des Caraïbes, ce qui laisse une eau peu profonde loin au loin. Les échassiers peuvent facilement s'éloigner de 30 à 60 mètres du rivage sans avoir de l'eau jusqu'aux chevilles ou aux genoux. Grâce à cette profondeur progressive, la baignade est facile et sûre. Les dunes basses et le maquis verdoyant de la plage s'étendent jusqu'aux complexes hôteliers et aux appartements, mais aucun bâtiment ne bloque la vue sur l'océan (Aruba impose une hauteur maximale de trois étages). Ce paysage à l'horizon ouvert – sable blanc, eau claire et ciel sans nuages – donne à Eagle Beach des airs de paradis tropical classique.
Eagle Beach joue également un rôle essentiel pour la faune sauvage. Quatre espèces de tortues marines nichent à Aruba, et Eagle Beach abrite la majorité des nids de tortues de l'île. En été (de mars à juillet), des nids protégés bordent les dunes arrière la nuit. Les nouveau-nés se précipitent vers la mer à la faveur de l'obscurité. Les gardes forestiers signalent les sites de nidification et les écloseries le long des dunes ; il est demandé aux visiteurs de réduire l'éclairage et le bruit pendant la saison de nidification. Il n'est pas rare de voir des panneaux avertissant de la présence de nids de tortues vertes ou des cordages protégeant les zones de nidification. Eagle Beach est donc à la fois un lieu de loisirs et de conservation.
Les alizés réguliers qui sculptent les arbres Divi-Divi créent également d'excellentes conditions pour les sports nautiques. La brise diurne qui souffle sur la baie peu profonde fait d'Eagle Beach un spot prisé pour la planche à voile, le kitesurf et le stand-up paddle, surtout près de l'extrémité nord. Les eaux sont généralement calmes dans la baie abritée, mais lorsque de forts vents d'est soufflent, de petites vagues peuvent se briser sur le récif au-delà du sable, offrant des sensations fortes aux véliplanchistes plus expérimentés. Des stations de location proposent des pédalos et du matériel de plongée. Même les jours de forte affluence, la vaste plage offre de la place à chacun : de nombreuses personnes se promènent sur le sable, et les seuls bruits sont les rires, les conversations légères et le souffle de la brise dans les palmiers.
Eagle Beach est facilement accessible depuis Oranjestad, la capitale d'Aruba (20 minutes en voiture). La route côtière (autoroute 7) mène directement au parc public d'Eagle Beach, qui propose un parking, des pavillons de pique-nique et des pelouses ombragées par des palmiers. Un nouveau boulevard en bord de mer longe la baie, avec des promenades surélevées pour les piétons et des tables de pique-nique couvertes. Les installations sont excellentes : toilettes et douches extérieures sont disposées tous les quelques centaines de mètres. Des sauveteurs patrouillent en saison et de simples cordes délimitent les zones de baignade pour plus de sécurité. Grâce à ces infrastructures, Eagle Beach accueille facilement les familles et les visiteurs occasionnels.
En fin d'après-midi, Eagle Beach est célèbre pour ses couchers de soleil. Orienté vers l'ouest sur les Caraïbes, le ciel s'illumine souvent de teintes orange et violettes éclatantes. La silhouette des arbres Divi-Divi, courbés, constitue un premier plan prisé pour les photos. Chaque soir, touristes et habitants se rassemblent sur le sable ou sous les palmiers pour admirer la fin de la journée. Au loin, le pittoresque phare de California et la côte nord d'Aruba se dessinent tandis que le soleil plonge à l'horizon.
Malgré sa popularité, Eagle Beach est souvent plus détendue que Palm Beach, située à proximité, grâce à ses immeubles moins élevés et à son ambiance familiale. Des filets de beach-volley sont installés aux extrémités, et les enfants jouent dans le sable ou les bassins de marée pendant que leurs parents se détendent à proximité. Dans la partie nord (près de Malmok), les petits surfeurs et bodyboardeurs profitent des douces vagues. Par temps calme, on peut apercevoir des îlots d'algues sur lesquels se prélassent des iguanes ou un pélican solitaire patrouillant dans les eaux peu profondes.
La qualité de l'eau autour d'Eagle Beach est considérée comme excellente. L'océan est pratiquement dépourvu de rochers ou de coraux près du rivage, si bien que les nageurs ne rencontrent que du sable blanc. Les algues s'échouent rarement (les courants locaux ont tendance à maintenir la plage propre) et la vue sous-marine est limpide : les plongeurs aperçoivent parfois des raies pastenagues ou de petits poissons tropicaux dans les eaux peu profondes. Il n'y a pas de courants dangereux grâce à la pente douce et à la barrière de corail au large. Par temps chaud, l'alizé du large rend l'air agréable, et les averses occasionnelles sont généralement brèves.
En résumé, les éloges d'Eagle Beach sont amplement justifiés. Son sable blanc et son lagon paisible évoquent une plage tropicale des Caraïbes. Les célèbres arbres Divi-Divi et les tortues nicheuses confèrent à la plage un caractère que peu de stations balnéaires peuvent égaler. Les visiteurs y savourent des plaisirs simples : une baignade dans l'eau chaude, une promenade parmi les palmiers ou un coucher de soleil paisible sur le sable. Eagle Beach symbolise le paysage à la fois désertique et maritime d'Aruba, ainsi que le succès de sa conservation – une escapade idéale, à la hauteur de ses excellents classements.
Siesta Beach on Siesta Key is famous for its powdery quartz sand and gentle Gulf waters. Its sand is over 99% pure quartz, making it bright white and cool underfoot even on hot days. These traits, along with excellent visitor ratings, have won it top honors: Siesta Beach was rated the #1 beach in the United States and #4 in the world by Tripadvisor in 2025. In fact, the adjacent Stump Pass State Park (at the southern tip of the key) is officially dubbed the “Seashell Capital of the World,” a nod to the abundance of shells that wash up on the gulf side. The result is a beach that looks more like a sandcastle expo than a typical shore.
L'eau de Siesta Beach est calme et claire. Le rivage descend en pente douce vers le golfe du Mexique, de sorte que les eaux peu profondes s'étendent loin et se creusent progressivement. Même les enfants peuvent s'éloigner longtemps et trouver de l'eau jusqu'aux genoux. La fermeté du sable de quartz rend la plage douce sous les pieds nus. Les après-midi d'été, une légère brise marine peut faire onduler la surface, mais Siesta Key se trouve à l'abri des îles-barrières continentales, ce qui rend les vagues presque toujours faibles. Les courants d'arrachement sont rares et les baigneurs y trouvent des conditions très sûres. La marée rouge algale de Floride peut parfois affecter la clarté de l'eau, mais une surveillance locale tient les baigneurs informés.
Grâce à des équipements modernes, Siesta Beach est très accessible. Au centre se trouve un grand pavillon neuf (achevé en 2017) abritant toilettes, douches et snack-bar. Des sauveteurs patrouillent la zone de baignade principale toute l'année. Un tramway gratuit dessert les visiteurs le long de la baie le week-end afin de fluidifier la circulation, et de nombreuses places de stationnement gratuites sont disponibles le long de Midnight Pass Road (avec un tarif plus élevé plus au sud, sur le littoral national). De larges passerelles en bois et une longue rampe permettent aux personnes âgées ou handicapées d'accéder facilement au sable. Tous ces équipements, destinés aux visiteurs, font de Siesta Beach une destination très prisée des voyageurs.
Siesta Key dégage une ambiance décontractée et familiale. La plage est si large que, même les jours de forte affluence, elle ne semble jamais vraiment bondée. Les jeunes enfants construisent des châteaux de sable dans les dunes et les adolescents jouent au volley-ball sur les terrains balisés. Une tradition notable est le cercle de tambours hebdomadaire : au coucher du soleil, le week-end, habitants et visiteurs se rassemblent près du pavillon sud pour jouer du tambour, danser et socialiser, célébrant ainsi la culture insulaire décontractée. (La seule musique nécessaire est le bruit de l'océan et le rythme collectif des tambours à main.) En fin d'après-midi, alors que les familles rangent glacières et transats, un calme paisible s'installe.
La faune de Siesta Beach est discrète mais présente. On peut souvent apercevoir des aigrettes neigeuses, des pélicans bruns et des sternes royales en train de pêcher le long du rivage. À de rares occasions, un dauphin s'approche du large. À l'intérieur des terres, le maquis et les dunes de Floride abritent des tortues gaufrées et des oiseaux migrateurs (bien que ceux-ci soient généralement invisibles aux visiteurs occasionnels). La faune la plus visible est peut-être les coquillages colorés : des coquilles de coquillier et de pétoncle s'échouent sur le rivage, surtout après les fortes marées, pour le plus grand plaisir des enfants et des collectionneurs de coquillages. La plage elle-même se trouve sur le Gulf Islands National Seashore ; une partie de celle-ci (Crescent Beach) est donc une zone protégée par le gouvernement fédéral, dont l'entrée est payante et contribue à sa préservation.
Siesta Beach accueille également des événements communautaires. Chaque automne, la ville organise un festival international de sculpture sur sable, attirant des artistes de renommée mondiale. Les prix décernés soulignent la finesse et la compactibilité du sable de quartz. Les résidents et les maîtres-nageurs effectuent conjointement des nettoyages nocturnes, garantissant ainsi une plage quasiment sans détritus. Pendant les vacances de printemps, la plage grouille d'activité, mais les habitants soulignent que la conception générale (large façade, installations dispersées) évite de se sentir à l'étroit sur un seul endroit.
In short, Siesta Beach delivers a textbook “perfect beach” experience. Its ultra-fine white sand, warm shallow water, and modern amenities exemplify what many people look for in a coastal getaway. In Sarasota’s vernacular, a day on Siesta Beach – from morning sunbath to vibrant Gulf sunset – captures the best of Florida’s seaside allure. In the end, a day here proves why Siesta Beach is consistently at the top of everyone’s list.
La plage de Bang Bao, sur la petite île de Koh Kood, à l'est de la Thaïlande, est un véritable havre de paix tropicale. Nichée au fond d'une baie, elle est bordée de collines luxuriantes sur trois côtés et de sable blanc sur le quatrième. En 2025, elle a été classée troisième plage au monde par un panel d'experts du tourisme. La description du panel est pertinente : la plage est « calme et immaculée », avec « une baie peu profonde, des eaux chaudes et une ambiance décontractée ». En effet, la plage entière ressemble à un joyau caché, en grande partie sauvage et ombragée par des cocotiers et une forêt tropicale dense.
En se promenant sur le sable de Bang Bao, on découvre un sable blanc cassé et poudreux, bordé d'une eau claire et chaude. Le fond de la baie est principalement constitué de sable fin, qui descend progressivement vers un lagon peu profond. Aux abords de la baie, affleurements coralliens et rochers offrent des spots de plongée avec tuba ; des poissons de récif colorés comme des poissons-perroquets et des poissons-anges sont faciles à apercevoir à quelques mètres du rivage. Des arbres surplombent la plage par endroits, offrant une ombre naturelle. Au loin, les collines verdoyantes s'élèvent abruptement, créant un décor spectaculaire. Selon le guide touristique, l'alliance entre jungle et plage est ici presque parfaite ; on sent la limite de la forêt tropicale presque à la limite du sable par endroits.
La baie de Bang Bao est parfaitement abritée, les vagues et les courants y sont donc négligeables. Même les petits enfants peuvent jouer en toute sécurité dans les eaux peu profondes. La température de l'eau est constamment chaude. Par les matins calmes, la surface reflète la végétation environnante comme un miroir. Dans la chaleur de midi, une brise marine apporte un peu de réconfort. Lors des rares tempêtes sur l'île, la mer peut s'assombrir brièvement, mais les conditions deviennent rarement dangereuses. C'est donc un endroit relaxant, même pour les nageurs moins expérimentés et les familles.
L'une des caractéristiques distinctives de la baie est la présence d'un paisible village de pêcheurs à l'extrémité sud. Une petite jetée en bois (la jetée de Bang Bao) s'avance dans l'eau. Les bateaux de pêche locaux et quelques bateaux de plongée y accostent souvent. Le village et la jetée ajoutent du charme sans encombrer la plage principale. Des cabanes-restaurants au toit de chaume bordent le sable, proposant des fruits de mer thaïlandais simples et des boissons fraîches. Les restaurants utilisent du bois provenant d'arbres abattus et des artisans locaux, préservant ainsi l'atmosphère rustique. L'électricité et Internet sont disponibles, mais discrets ; l'atmosphère générale reste très sobre et naturelle.
L'éloignement de Bang Bao contribue à son isolement. Koh Kood ne possède pas d'aéroport ; les visiteurs s'y rendent en ferry depuis le continent. Même à Koh Kood, la plage de Bang Bao est plus calme. Aucune route goudronnée n'y mène directement ; un sentier accidenté descend du village principal, ce qui fait que la plupart des visiteurs sont ceux qui la recherchent vraiment. On y trouve quelques petits complexes hôteliers, mais ils sont dispersés et construits avec des matériaux locaux pour s'intégrer harmonieusement. L'affluence d'excursionnistes, que l'on retrouve sur les plages thaïlandaises plus célèbres, est quasi inexistante.
Grâce à sa baie protégée, Bang Bao est également prisée des amateurs de kayak et de paddle. De petites boutiques de location sur le sable proposent des kayaks. Les pagayeurs explorent souvent les promontoires ou les criques voisines. À marée haute, on peut faire le tour du récif peu profond en kayak, révélant concombres de mer et anémones de mer au fond. Les plongeurs affrètent parfois des bateaux longtail depuis la plage pour atteindre les récifs plus au large du golfe de Thaïlande, où les requins-baleines passent parfois en saison.
Pour les amoureux de la nature, la végétation derrière le sable est remarquable. La forêt est principalement composée de forêts tropicales humides de plaine, avec d'imposants diptérocarpacées et un sous-bois dense. Le chant des oiseaux est abondant ; au lever du soleil, on peut entendre des bulbuls et d'autres oiseaux tropicaux. On peut observer des varans et des écureuils à la limite des arbres. De rares nuits, on peut même apercevoir un petit caméléon se déplaçant lentement dans les feuilles. Les guides locaux mentionnent que le corail de la baie comprend des espèces rares de coraux durs, ce qui a contribué à garantir le statut de zone protégée de la plage.
L'attrait de la plage de Bang Bao ne se limite pas à son paysage. Selon le comité de voyage, le quai de pêche voisin offre aux visiteurs un aperçu de la vie locale. Les villageois vendent des produits tissés à la main et des en-cas aux visiteurs, et le rythme de vie y est paisible. Ici, pas de vie nocturne ; après le coucher du soleil, seul le chant des vagues et des cigales persiste. L'électricité peut parfois vaciller. Cette simplicité fait partie de son charme : pas de bars animés, pas de jet-skis, pas de marchands ambulants – juste une plage tranquille et des hôtes accueillants.
En résumé, Bang Bao est l'exemple même d'une plage thaïlandaise idyllique, épargnée par le tourisme de masse. Ses eaux claires et peu profondes, ses eaux chaudes et son cadre luxuriant correspondent à l'image que beaucoup se font d'une île paradisiaque. Pourtant, elle reste authentique et respectueuse de l'environnement. Les visiteurs affirment que sa tranquillité et sa convivialité justifient son classement. À bien des égards, Bang Bao ressemble à une plage privée pour les rares qui la connaissent – un secret bien gardé dans un pays aux plages de renommée mondiale.
La plage de Grace Bay, à Providenciales, aux Îles Turques-et-Caïques, est mondialement connue pour sa longue étendue de sable blanc et ses eaux turquoise cristallines. Elle figure régulièrement parmi les plus belles plages du monde selon les sondages et les prix de voyage. Selon Visit Turks & Caicos, Grace Bay a remporté de nombreux prix, dont celui de meilleure plage sur Tripadvisor à plusieurs reprises. La réputation de la plage repose sur sa clarté et sa propreté exceptionnelles : l'eau y est pratiquement exempte de débris et d'algues, ce qui permet d'observer poissons et coraux à quelques brasses du rivage.
Le sable de Grace Bay est exceptionnellement fin et doux, composé principalement de fragments de corail broyé et de coquillages. Sous les pieds, il est aussi doux que du talc et reste presque blanc comme neige, même par une belle journée ensoleillée. Les promeneurs apprécient particulièrement la promenade pieds nus : le sable n'est jamais excessivement chaud. La baie est bordée de dunes basses parsemées de cèdres et de raisiniers, mais l'horizon est dominé par l'océan et le ciel. Une barrière de corail d'un kilomètre de long (à environ un mile au large) protège la baie de la houle, offrant une eau calme et légèrement clapotante. Les zones peu profondes restent chaudes, tandis que les zones plus profondes près du récif arborent un bleu saphir intense.
L'entrée de Grace Bay a été soigneusement pensée pour ne pas gâcher la vue. La réglementation locale limite la hauteur des bâtiments ; aucun gratte-ciel ne vient donc obstruer le paysage tropical. Ainsi, où que l'on se trouve le long de la plage, la vue est imprenable. C'est en partie pour cette raison qu'elle a remporté tant de distinctions. Un chroniqueur de voyage la qualifie de « carte postale devenue réalité ». L'association d'un sable doux, d'une eau parfaitement claire et d'un horizon océanique quasi infini évoque une aquarelle naturelle.
Les infrastructures de Grace Bay sont haut de gamme mais discrètes. Des complexes hôteliers de luxe bordent la plage derrière les dunes, proposant la location de chaises longues et de parasols, mais ils sont très espacés. Les amateurs de plage trouveront des chaises longues, des hamacs et des restaurants en bord de mer tous les quelques centaines de mètres. Les installations sont bien entretenues : toilettes et douches publiques dissimulées dans des palapa ; les poubelles sont nombreuses. Des maîtres-nageurs sauveteurs sont présents toute l'année et des zones de baignade balisées garantissent la sécurité. L'activité nautique est faible ; le kitesurf et les jet-skis sont interdits sur la plage principale, préservant ainsi la tranquillité de l'endroit.
Juste au large, le récif submergé offre des possibilités de plongée avec tuba. Les plongeurs débutants peuvent s'avancer à quelques mètres et observer des anguilles jardinières ou des poissons-perroquets sur le récif en pente douce. Des excursions de plongée plus profondes permettent d'atteindre les tombants de la barrière de corail où l'on peut parfois apercevoir des tortues et des raies. Le lagon peu profond près du rivage est une nurserie pour les petits poissons de récif. Cependant, la plupart des visiteurs apprécient simplement la baignade, la flottaison ou le kayak dans les eaux calmes. Des dauphins jouent parfois juste au-delà du récif, visibles depuis le rivage avec un peu de chance.
Grace Bay conserve un aspect remarquablement naturel grâce aux mesures de protection mises en place. La baie entière fait partie d'un parc national, et il est interdit d'enlever du sable ou des coquillages. Les sauveteurs sur la plage et les patrouilles environnementales contrôlent l'érosion et la pollution. Il est important de noter que Grace Bay ne souffre pas de fortes proliférations d'algues ; la gestion locale des déchets et la protection des récifs contribuent à préserver la pureté de l'eau. L'aspect de la plage varie peu au fil des saisons, hormis quelques éclaircissements turquoise par temps clair.
Les voyageurs à Grace Bay remarquent le contraste entre sa tranquillité et les lumières de la ville sur les plages de la côte ouest américaine. L'eau y est si claire qu'on peut se tenir debout jusqu'aux épaules la nuit tombée et admirer le reflet des étoiles sous ses pieds. Le soir, les hôtels sont juste assez éclairés pour marcher en toute sécurité, mais la vaste étendue de plage reste vaste et paisible. Seuls les doux murmures des vagues et les conversations lointaines des cabanons sont audibles.
En résumé, la plage de Grace Bay illustre les vertus d'une gestion responsable. Son statut primé repose sur le confort touristique – sécurité, parking, restauration – combiné à la liberté de profiter de la nature. Les visiteurs affirment souvent que rien n'est nécessaire pour embellir Grace Bay : le sable et la mer suffisent à eux seuls à justifier sa réputation d'excellence.
La Praia da Falésia (plage de Falésia) s'étend le long de la côte centrale de l'Algarve, au Portugal, encadrée par de hautes falaises spectaculaires de grès rouge et jaune. En 2024, elle a été élue plus belle plage du monde par les utilisateurs de Tripadvisor, reflétant sa beauté spectaculaire. Une vaste étendue de sable doré s'étend au pied de ces falaises, qui s'élèvent de 50 à 100 mètres de haut sur toute la longueur de la plage. Au soleil, les falaises se parent d'un orange chaud ; se détachant sur le bleu profond de l'Atlantique, le spectacle est inoubliable. Le sable est doux et fin, et la plage serpente doucement le long de la baie sur environ 5 km, offrant un espace généreux même en période d'affluence.
Le nom « Falésia » signifie « falaise », et ces falaises sont l'élément caractéristique de la plage. Elles sont composées de strates sédimentaires riches en oxydes de fer, ce qui leur donne leur couleur rouge rouille. Au fil des siècles, la pluie et les embruns ont creusé des terrasses et des grottes en forme d'escalier dans les parois rocheuses. À certains endroits, une végétation luxuriante recouvre le sommet des falaises, apportant un contraste vert aux rouges et aux ors. Les visiteurs remarquent souvent que les falaises ressemblent à des œuvres d'art sculptées, surtout au lever et au coucher du soleil, lorsque les ombres soulignent leurs contours. L'office de tourisme portugais souligne même que la spectaculaire palissade de falaises d'argile de Falésia la distingue des autres plages.
En contrebas des falaises, la plage est bordée de hautes dunes et de pinèdes. La zone fait partie d'un parc naturel protégé (faisant partie de la Ria Formosa), ce qui garantit un développement minimal derrière la plage. Plusieurs points d'accès publics sont aménagés avec des passerelles en bois qui enjambent les dunes. En raison des falaises, de nombreuses sections de sable ne sont accessibles que par des escaliers ou des rampes douces. Une fois sur le sable, on trouve une eau très propre et chaude (l'Atlantique est ici relativement doux) et un fond sableux. Les vagues peuvent être modérées ; par temps calme, la baignade et le pataugeoire sont faciles, mais lorsque la houle de l'Atlantique est forte, Falésia offre des vagues idéales pour les surfeurs expérimentés.
Les infrastructures touristiques sont présentes, mais discrètes. Des bars de plage (appelés « snack-shacks ») sont situés près des parkings principaux et des escaliers, proposant boissons et en-cas. Des parasols et des chaises longues en bois sont disponibles à la location, mais ils ne couvrent pas tout le sable. La plage étant très large, les familles et les groupes trouvent toujours de la place pour étendre leur matériel. Des sauveteurs sont présents aux points d'accès surveillés en été, et des cabines de premiers secours sont à disposition. Une signalisation rappelle poliment aux visiteurs de respecter les dunes et de ne pas escalader les falaises (pour éviter l'érosion et assurer leur sécurité).
La popularité de Praia da Falésia s'accroît en été, mais sa longueur attire les foules. Les promenades le long du rivage sont très prisées : il faut environ 30 minutes pour parcourir un kilomètre à un rythme modéré. De nombreux visiteurs se rendent à l'extrémité sud (près de Vilamoura) pour admirer les couchers de soleil derrière les lumières lointaines de la marina. Parmi les oiseaux, on trouve des goélands et des sternes ; on peut parfois apercevoir des flamants roses dans les lagons lointains de l'estuaire de la Ria Formosa. Parfois, les oreilles perçoivent le son lointain des cloches des églises d'Albufeira ou de Vilamoura, rappelant la proximité de la culture locale, même lorsqu'on se prélasse sur une plage semi-sauvage.
La conservation est un thème central ici. Au cours de la dernière décennie, des efforts ont été déployés pour stabiliser les falaises (qui s'érodent naturellement) et replanter de la végétation indigène sur les dunes. Il est interdit aux visiteurs de camper sur la plage et ils doivent emporter tous leurs déchets. Les autorités portugaises présentent Falésia comme un modèle de tourisme durable, les guides locaux soulignant que la nature intacte de la plage mérite d'être protégée.
Dans l'ensemble, la combinaison des caractéristiques de Falésia – une vaste baie sablonneuse en pente douce et les imposantes falaises colorées qui l'entourent – en fait l'une des plages les plus saisissantes d'Europe. Les falaises rouille, dorées au coucher du soleil, témoignent du modelé naturel du paysage. Si le nom de Falésia signifie « falaise », les visiteurs s'en souviennent pour l'étendue d'océan et de sable qui s'étend à ses pieds, digne de ses plus grands honneurs.
La plage d'Entalula est un joyau caché sur la petite île de Little Culion, dans l'archipel Calamian de Palawan, aux Philippines. Isolée et largement préservée, elle a été classée n° 2 sur un classement mondial des plages en 2025. Contrairement à une plage de villégiature, Entalula ressemble à une crique privée. Un croissant de sable fin couleur crème serpente doucement entre d'imposantes falaises calcaires drapées de vignes vertes. L'étroite langue de sable mène à un lagon peu profond aux eaux émeraude d'une clarté incroyable. Dès l'approche en bateau, on remarque immédiatement le contraste saisissant entre le sable blanc et la baie turquoise.
La combinaison des caractéristiques de cette plage est inhabituelle. Une colline herbeuse s'étend derrière les petits bancs de sable. Des chauves-souris à face de singe et des oiseaux tropicaux ont élu domicile au-dessus du rivage. Des rochers coralliens bordent chaque extrémité du sable d'Entalula, protégeant la baie calme de la houle du large. L'eau est chaude et peu profonde près du rivage ; à marée normale, elle n'atteint la taille qu'à quelques mètres. Les nudistes sont connus pour prendre le soleil dans des coins isolés sur la gauche, où quelques rochers et feuillages offrent un peu d'intimité. Où que l'on se trouve, les parois calcaires s'élevant à plus de 50 mètres derrière le sable créent une impression d'enfermement, comme si la baie était un amphithéâtre naturel.
L'accès se fait uniquement par bateau. Les visiteurs sont généralement transférés depuis l'île principale de Coron ou depuis la ville de Culion en petit bateau à moteur. Le trajet en lui-même fait partie intégrante de son charme, avec ses eaux vert émeraude et ses poissons invisibles visibles sous la coque. À l'approche, on contourne souvent une mare de corail pour atterrir sur une petite jetée en bois. Il n'y a ni route ni véhicule sur Little Culion ; seuls quelques sentiers mènent de la plage aux ruelles du village. Parce que s'y rendre demande des efforts, Entalula ne voit que peu de touristes, même en haute saison. Ceux qui arrivent trouvent généralement la baie pour eux seuls ou en compagnie de quelques personnes seulement.
L'isolement d'Entalula en fait un lieu idéal pour la plongée avec tuba. Les nageurs qui s'aventurent à quelques mètres de la plage découvrent un récif luxuriant juste sous la surface. De petits bosquets de coraux cerveaux et de gorgones poussent au fond du lagon, et il est fréquent d'y voir des poissons-anges, des poissons-papillons et des poissons-perroquets juvéniles s'y faufiler. La visibilité est excellente – souvent 15 mètres ou plus – car il n'y a pas de sable agité par les vagues. D'ailleurs, beaucoup considèrent les eaux d'Entalula comme les plus claires de toute la baie de Coron. Il arrive qu'un bateau de plongée jette l'ancre à proximité, mais sinon, la vie marine y est relativement paisible.
De retour sur la plage, les commodités sont minimalistes. Quelques cabanes et bancs en nipa offrent de l'ombre, mais il n'y a pas de commerces permanents. Les guides locaux apporteront des fruits ou des en-cas simples sur demande ; sinon, les visiteurs sont préparés. Il n'y a pas de toilettes ; il est donc recommandé d'arriver en toute autonomie (eau et provisions en suffisance). L'électricité est disponible au village, mais jamais nécessaire sur le sable. De nombreux visiteurs ne quittent la plage qu'au coucher du soleil, lorsque le crépuscule sur le calcaire est particulièrement serein.
La tranquillité isolée d'Entalula en a fait une sorte de lieu de pèlerinage. Les insulaires racontent sa découverte il y a des décennies par des villageois de Culion, à la recherche de vagues intactes. L'attrait de la plage a toujours été évident : elle ressemble, à plus petite échelle, au célèbre Secret Lagoon d'El Nido. Les guides touristiques la classent désormais parmi les sites incontournables de Palawan, et les voyagistes de Coron l'incluent dans leurs excursions multi-îles. Pourtant, de par sa géographie – entourée de falaises abruptes et accessible uniquement par petite embarcation – elle a conservé un certain mystère.
En résumé, le charme de la plage d'Entalula réside dans son isolement luxuriant et sa simplicité. C'est un lieu où convergent les éléments pittoresques de Palawan – soleil éclatant, jungle verdoyante, eau turquoise et sable blanc. L'absence de commercialisation permet de se concentrer sur la nature. Les visiteurs remarquent souvent qu'Entalula est « aussi belle qu'elle en a l'air » – le genre de paysage qu'ils auraient pu voir sur une affiche de voyage, mais avec l'intimité d'une baie secrète. En bref, Entalula incarne la beauté vierge qui la place résolument parmi les plus belles plages du monde.
Banana Beach est un petit croissant de sable à l'extrémité sud-ouest de Phuket. Malgré sa taille modeste, elle apparaît souvent dans les guides touristiques comme l'une des plus belles plages cachées de Thaïlande. Son nom vient de la forme de banane de sa baie et du bosquet de bananiers à proximité. Le rivage est bordé de douces collines couvertes de jungle, et le sable est d'un blanc cassé doux. L'eau y est d'une clarté saisissante : préservée de toute limonerie, elle apparaît vert émeraude dans les eaux peu profondes et bleu profond plus loin. Par beau temps, la lumière sur l'eau transforme même les flaques d'eau peu profondes en morceaux de jade.
La plage de Banana Beach est isolée car elle est nichée entre deux promontoires. Au nord, une petite colline la sépare de la plage plus fréquentée de Nai Harn ; au sud se trouve la crique d'Ao Sane, un spot de snorkeling tranquille. Les deux pointes de la baie sont rocheuses et bordées de corail, ce qui permet de faire du snorkeling près des bords. À marée basse, le banc de sable reliant les rochers du nord s'élargit et on peut même marcher un peu jusqu'au récif. Des poissons comme les poissons-clowns et les petits vivaneaux sont fréquents parmi les affleurements coralliens. Cependant, la plupart des visiteurs restent sur le sable pour profiter de l'eau calme et jusqu'à la taille, près du rivage.
Grâce aux collines environnantes, Banana Beach est protégée des vents forts et des vagues. L'eau y est généralement calme, avec seulement de légères ondulations. La plage est petite (environ 150 mètres de long), donc jamais de grosses vagues. Les enfants jouent librement ; l'eau est peu profonde et chaude, idéale pour les enfants et les nageurs débutants. Les habitants disent que les vagues qui apparaissent ne sont que la fin de la houle qui frappe le cap sud, et qu'elles sont trop petites pour le surf ou le kayak. Banana Beach ressemble ainsi à un lagon privé, avec un terrain de jeu paisible plutôt qu'à un océan agité.
L'accès à Banana Beach se fait par une courte route non goudronnée depuis Nai Harn. Le parking est limité et peut accueillir quelques voitures et scooters. On y accède souvent en louant une moto ou en prenant un taxi depuis Chalong ou Kata. Un sentier à flanc de colline (le « Monkey Trail ») descend plus haut, mais la plupart des visiteurs préfèrent la route. Son accès relativement difficile limite la fréquentation. Même à midi en haute saison, on ne trouve parfois qu'une vingtaine de personnes sur la plage. L'absence de voyagistes et de marchands ambulants contribue à la tranquillité de l'endroit.
Les installations sont minimales à Banana Beach. Quelques cabanes en bambou louent parasols et chaises longues. Un restaurant familial propose des fruits de mer thaïlandais et des boissons fraîches directement sur le sable (un restaurant simple avec un toit de chaume et des chaises en plastique). Il n'y a pas de grands complexes hôteliers ni d'hôtels sur la plage, juste quelques petites maisons d'hôtes cachées dans les arbres. Des toilettes publiques et des douches extérieures sont disponibles près du parking, mais il est conseillé d'apporter tout le nécessaire (nourriture, eau, crème solaire) si vous prévoyez de rester longtemps. De nombreux visiteurs y passent la journée et retournent dîner à Nai Harn ou Rawai.
L'atout le plus fascinant de Banana Beach est son sentiment d'évasion. Avec ses pentes couvertes de jungle de chaque côté et l'absence de constructions visibles juste devant, on se sent à mille lieues de l'agitation habituelle de Phuket. En vous installant sous un palmier et en fermant les yeux, vous vous imaginerez sur une île tropicale déserte. Pas de musique forte ; on entend plutôt le chant des oiseaux et le doux bruissement des vagues. De temps en temps, un bateau à longue queue passe tranquillement au large, mais la baie reste généralement paisible.
Le coucher de soleil à Banana Beach peut être spectaculaire. Bien qu'elle soit située sur la côte ouest, la vue sur l'horizon est en partie masquée par le promontoire voisin. Lorsque le soleil se couche, le ciel se teinte souvent de rose et d'orange derrière la colline au sud-ouest. Photographes et couples empruntent parfois un court sentier menant à un point de vue surplombant la plage pour admirer le ciel coloré surplombant la baie. Ceux qui s'attardent sur le sable au crépuscule affirment que la fraîcheur de la mer et les lucioles des bateaux au loin rendent la soirée presque magique.
En conclusion, Banana Beach incarne le genre de plage tropicale discrète et pourtant sauvage que les voyageurs apprécient. Son sable couleur crème, sa baie verdoyante et abritée et son absence de toute activité commerciale se distinguent même sur une île aussi fréquentée que Phuket. L'absence d'agitation et de foule permet de s'imprégner plus profondément du paysage. Les visiteurs quittent souvent Banana Beach avec le sentiment d'avoir découvert quelque chose de spécial : une crique tranquille qui leur est propre, plutôt qu'un lieu touristique banalisé.
Anse Source d'Argent est une plage mondialement connue de La Digue, aux Seychelles, réputée pour son paysage unique. Son large sable fin bordé d'une eau turquoise peu profonde la rend immédiatement reconnaissable grâce à ses gigantesques rochers de granit arrondis. Ces boules de pierre anciennes, érodées par le vent et la pluie au fil des millénaires, s'empilent et se courbent le long du rivage et dans les eaux peu profondes, telles des sculptures naturelles. Les guides de voyage soulignent qu'Anse Source d'Argent est « mondialement connue pour son paysage unique de gros rochers le long du littoral », véritable symbole des Seychelles.
La baie d'Anse Source d'Argent est peu profonde et calme. Protégée des deux côtés par de gros rochers, l'eau de la plage est transparente, même par temps venteux. Le sable sous les pieds est un sable corallien clair qui reste agréablement frais. On peut patauger loin au-delà des rochers, dans une eau bleue jusqu'à la taille. La plongée avec tuba parmi les rochers permet d'observer de nombreux poissons de récif : poissons-papillons, demoiselles et même des raies pastenagues si l'on observe attentivement. Grâce à la faible profondeur de l'eau, la visibilité est excellente. La profondeur du lagon dépasse rarement 2 à 3 mètres ; au-delà s'étend un récif peu profond où les vagues de l'océan Indien se brisent doucement.
Ce qui distingue vraiment cet endroit, c'est son impression d'immensité malgré sa baie. La plage s'étend sur une centaine de mètres le long du rivage, entre deux promontoires boisés. Au-dessus du sable, de grands palmiers se penchent sur les rochers, et à l'intérieur des terres, la jungle s'ouvre presque immédiatement. Les visiteurs remarquent souvent que le paysage – sable rose, mer émeraude, rochers de granit et végétation luxuriante – ressemble à un tableau. Les photographes affluent ici car les gros rochers aux formes uniques rendent chaque cliché unique.
Étonnamment, l'Anse Source d'Argent ne semble jamais trop fréquentée. La plage fait partie du domaine de L'Union, une plantation historique, et l'accès est réglementé par un petit droit d'entrée qui permet de limiter le nombre de personnes. Ainsi, même en haute saison, on peut généralement trouver une étendue de sable entre les rochers. Tôt le matin, la plage est presque déserte, et même vers midi, la foule se disperse sur le sable et les rochers. Grâce aux larges étendues de sable plat, on peut étendre ses serviettes et ses chaises sans se sentir les uns sur les autres.
L'animation est limitée à Anse Source d'Argent. Quelques petits stands de restauration près de l'entrée proposent boissons et crêpes, mais on n'y trouve ni bars ni musique. Des transats et parasols colorés sont disponibles à la location, mais de nombreux visiteurs préfèrent s'asseoir sur le sable, contre les galets. Les maîtres-nageurs sont présents uniquement en saison. La règle principale sur cette plage est de rester à l'écart des rochers fragiles et des zones coralliennes du lagon ; des panneaux et du personnel veillent au respect de ces règles afin de protéger l'environnement.
La plage est agréablement surprise par son plateau très peu profond. À certaines marées, un sentier en planches permet aux visiteurs de se promener sur les platiers récifaux, où l'on peut observer des bancs de centaines de jeunes poissons-chirurgiens et de labres. Dans l'eau, des baies calmes permettent aux débutants de faire du snorkeling en toute sécurité. De retour sur le sable, des plants de gingembre et de cocotiers poussent en bordure de dune, diffusant un parfum tropical frais lorsque la brise souffle.
En résumé, l'Anse Source d'Argent offre un paysage insulaire intemporel. L'alliance de ses eaux peu profondes d'un vert jade et de ses pierres anciennes et lisses la rend unique au monde. Les chroniqueurs de voyage la qualifient de « sereine » et soulignent que malgré sa renommée, elle préserve un espace personnel : on peut s'asseoir presque entièrement entouré d'un rocher géant. Ce sentiment de solitude au cœur de la grandeur rend la plage enchanteresse. Dans la tradition seychelloise, c'est souvent la première image qui vient à l'esprit, témoignant de sa simplicité et de sa beauté naturelle.
Il n'y a pas de réponse unique : cela dépend de la personne à qui vous posez la question. Lors du sondage d'experts de 2025, Cala Goloritzè, en Sardaigne, arrivait en tête du classement grâce à ses falaises incomparables et à son statut de conservation. En revanche, les votes Tripadvisor Travelers' Choice 2025 ont attribué la première place mondiale à la plage d'Elafonissi, en Grèce. Ces deux affirmations sont fondées : l'une reflète un consensus d'experts sur son caractère naturel préservé, l'autre l'engouement des voyageurs pour son sable rose et ses eaux peu profondes idéales pour les familles. En pratique, chaque plage offre une expérience unique : l'une isolée et sauvage, l'autre accessible et colorée. En bref, la « meilleure » plage dépend autant des goûts personnels que des résultats des sondages.
La Grèce est souvent en tête des classements internationaux des plages, grâce à sa concentration de lagons azur et d'îles spectaculaires. Elle est souvent à égalité avec l'Australie pour le nombre de plages les plus prisées : par exemple, lors des récents résultats du Travelers' Choice, la Grèce comptait trois plages parmi les 25 meilleures au monde (Elafonissi, Fteri et Porto Katsiki), et l'Australie égale généralement ce nombre. Les deux pays bénéficient de longs littoraux et de parcs marins protégés. Parmi les autres pays possédant de nombreuses plages célèbres figurent les États-Unis (Floride, Hawaï), la République dominicaine et des archipels comme les Philippines ou l'Indonésie. La beauté est finalement subjective, mais la Grèce et l'Australie sont régulièrement citées comme possédant le plus grand nombre de plages de renommée mondiale.
Le sable de Siesta Beach est réputé pour être presque entièrement composé de quartz cristallin – pur à environ 99 % – ce qui est très inhabituel pour un bord de mer. Au fil des siècles, le feldspath et le mica contenus dans les grains de sable ont été emportés, laissant place à de minuscules cristaux de quartz. Ce qui confère au sable une texture poudreuse et un blanc éclatant. Même par une chaude journée d'été, ce sable clair et réfléchissant reste frais sous les pieds – une nouveauté pour les amateurs de plage pieds nus. De plus, les grains de quartz résistent à l'érosion, ce qui permet à Siesta de conserver sa largeur : les visiteurs marchent encore 90 mètres sur le sable dur et humide pour atteindre l'eau, comme il y a un siècle. Résultat : une plage qui a la texture de la farine fraîche (disent les habitants de Sarasota en plaisantant) et qui ne brûle pas les pieds nus, une qualité qui a valu à Siesta plusieurs prix du « meilleur sable du monde ».
Plusieurs plages de notre liste sont très adaptées aux enfants, tandis que d'autres requièrent une certaine prudence. Elafonissi est idéale pour les enfants grâce à ses piscines calmes et peu profondes. La plage de Siesta est sûre, surveillée et offre un faible ressac. Grace Bay et Eagle Beach offrent également des eaux douces et une surveillance dans les zones touristiques. En revanche, Cala Goloritzè nécessite une longue randonnée – déconseillée aux très jeunes enfants – et les falaises de Cala se trouvent juste au-delà du rivage de galets. Praia da Falésia est large et surveillée, mais les parents doivent noter que l'eau devient progressivement plus profonde (bien que les courants soient faibles). De manière générale, de nombreuses plages de premier ordre disposent de sections réservées à la baignade familiale en toute sécurité. Les jeunes parents doivent toujours surveiller leurs enfants (attention au soleil et aux méduses dans certaines zones tropicales). Lors de votre planification, choisissez des plages qualifiées de « familiales » par les avis (par exemple, Tripadvisor associe fréquemment des icônes familiales à ses annonces) et vérifiez la présence d'installations telles que des zones ombragées et des toilettes.
Visiter une plage de premier choix peut être quasiment gratuit ou très cher, selon les choix. Dans la plupart des cas, l'accès à la plage elle-même est gratuit (toutes les plages mentionnées ci-dessus, à l'exception de quelques-unes, sont soumises à des droits de conservation). Les principaux coûts sont le transport et l'hébergement. Par exemple, Cala Goloritzè ne nécessite qu'un faible droit de stationnement/entrée, mais rejoindre la Sardaigne depuis l'extérieur de l'Europe peut nécessiter de longs vols. En revanche, les droits d'entrée dans des endroits comme Anse Source d'Argent (environ 15 $ par personne pour l'accès au parc) ou la lagune de Ban Gioc (Yémen) contribuent à la préservation. L'hébergement varie : une villa de luxe à Grace Bay peut coûter 500 $ la nuit, tandis qu'un bungalow à Koh Kood peut coûter moins de 50 $. Les repas et les extras varient également selon la région (l'Asie du Sud-Est est généralement moins chère que l'Europe ou les Caraïbes). À titre indicatif, un voyageur au budget modéré pourrait dépenser entre 1 500 $ et 3 000 $ par personne pour un voyage d'une semaine, incluant les vols intercontinentaux, les hôtels milieu de gamme et les repas locaux. Comparez toujours les saisons : les mois creux offrent souvent des économies importantes sur les billets d'avion et les hôtels (même si la météo peut être moins clémente). N'oubliez pas que certaines excursions (comme les excursions en bateau vers Entalula ou la plongée avec tuba à Grace Bay) alourdissent le budget. Adaptez vos plans à votre budget : vous pouvez profiter de plages de renommée mondiale à petit prix ou en grande pompe.
Les plus belles plages du monde s'étendent sur une palette éblouissante : des criques secrètes sur des îles isolées aux plages de sable blanc animées sous les lumières des villes. Chacune des dix plages mentionnées ci-dessus a mérité sa place grâce à un mélange de paysages magnifiques, de qualité de l'eau et du sable, et (souvent) d'une gestion responsable. Cependant, aucun classement ne peut à lui seul satisfaire tous les rêves, alors réfléchissez à vos préférences : aspirez-vous à la solitude (Cala Goloritzè, Entalula), au calme familial (Siesta, Elafonissi) ou à la culture insulaire animée (Aruba, Thaïlande) ? Quel que soit votre choix, planifiez soigneusement votre visite en tenant compte des fenêtres météo, des réglementations de conservation et des coûts de déplacement pour profiter pleinement de votre séjour. Que vous observiez un espadon voilier au large de Grace Bay, que vous vous émerveilliez des rivages roses de Crète ou que vous fouliez simplement le quartz frais d'une plage de Floride, n'oubliez pas qu'une belle plage est autant une question d'expérience que de lieu. Prévoyez le respect de la nature, de crème solaire et les coutumes locales, et vous garantirez la beauté de ces coins de paradis pour tous. En fin de compte, la « meilleure » plage est aussi personnelle qu'un coucher de soleil préféré ; grâce aux idées et aux conseils de ce guide, les lecteurs peuvent désormais rechercher en toute confiance l'évasion côtière qui leur semble parfaite.
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