Lisbonne – Ville du Street Art
Lisbonne est une ville côtière portugaise qui allie avec brio modernité et charme d'antan. Lisbonne est un haut lieu du street art, même si…
Le Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle est un réseau d'anciens chemins de pèlerinage menant au sanctuaire de Saint-Jacques, dans le nord-ouest de l'Espagne. Comme le souligne l'UNESCO, le Chemin englobe « un réseau de quatre itinéraires de pèlerinage chrétiens » avec « des cathédrales, des églises, des hôpitaux, des auberges et des ponts construits pour les pèlerins », s'étendant sur environ 1 500 km à travers le nord de l'Espagne. Marcher sur le Chemin attire de nombreuses personnes pour des raisons historiques, spirituelles ou personnelles : les pèlerins d'aujourd'hui décrivent souvent cette expérience comme un mélange de défi physique, d'immersion culturelle et de recueillement. La simplicité des salutations échangées illustre parfaitement l'esprit du Chemin ; par exemple, les pèlerins se souhaitent couramment « ¡Buen Camino! » (littéralement « bon chemin », un vœu de bon voyage).
Itinéraire | Longueur | Durée | Points forts |
À la française | ~800 km | ~30 à 36 jours | Pyrénées, cathédrales de Burgos/León, plaines de la Meseta (auberges historiques) |
Voie portugaise (Centre) | 620 km de Lisbonne (260 km de Porto) | 25 à 30 jours | Vallée du Douro, côte portugaise, villes côtières |
Chemin du Nord | ~800 km | ~38 à 40 jours | Vues sur la côte cantabrique, forêts luxuriantes, petits villages ; sentier plus tranquille |
Voie primitive | ~315 km | ~15 à 20 jours | Cols de montagne escarpés (Asturies), villages ruraux, lieux peu fréquentés |
À l'anglaise | 120 km (départ de Ferrol) | 5 à 7 jours | Départ côtier, campagne galicienne |
Route de l'Argent | ~1 000 km | ~40 à 50 jours | Sud de l'Espagne (Andalousie), voies romaines historiques, très isolé |
Les motivations des pèlerins peuvent influencer le choix de leur itinéraire : le Chemin français offre les infrastructures les plus riches et la plus grande variété (il attire environ 66 % des marcheurs), mais sa popularité engendre une forte affluence. Des paysages plus abordables, comme les Chemins du Nord ou Portugais, offrent solitude et beauté (le Chemin Portugais était le deuxième plus populaire en 2024). Les familles et les pèlerins débutants empruntent souvent les itinéraires les plus fréquentés (le Chemin français ou le Chemin portugais) pour bénéficier de services fiables, tandis que les pèlerins de retour peuvent explorer d’autres options.
Choisir la bonne période pour votre randonnée est crucial. En général, le printemps (avril-juin) et le début de l'automne (septembre-octobre) sont idéaux sur la plupart des itinéraires : les journées sont chaudes sans être caniculaires, les points d'eau sont abondants et l'affluence est modérée. L'été (juillet-août) est marqué par de longues journées et des températures élevées – le plateau de la Meseta peut atteindre 30 à 35 °C – et les hébergements affichent complet. Sur la Via de la Plata (sud de l'Espagne), le cœur de l'été peut être dangereusement chaud, c'est pourquoi beaucoup l'évitent en juillet et août. L'hiver apporte des journées courtes et, en altitude, de la neige et du verglas. Le col des Pyrénées (Saint-Jean-Pied-de-Port) peut être fermé en hiver. Certains tronçons côtiers ou de basse altitude (voie portugaise, Norte en hiver) restent praticables toute l'année, mais sont exposés à des pluies fréquentes.
Mois par mois : Le début du printemps (mars-avril) est plus sec ; en mai-juin, les champs se parent de fleurs sauvages. Juillet et août sont très fréquentés, surtout lors des Années Saintes (lorsque le 25 juillet tombe un dimanche, comme ce fut le cas en 2021-2022 et comme ce sera le cas en 2027). Septembre et octobre offrent souvent les meilleures conditions météorologiques (il fait encore chaud et il y a un peu moins de monde). À la fin de l’automne, certains refuges commencent à fermer et les premières neiges d’hiver peuvent bloquer les cols. Soyez prévoyants : emportez des vêtements de pluie même en été, de la crème solaire pour les portions dégagées et prévoyez une courte journée de repos après toute traversée alpine hors saison.
Les risques saisonniers incluent les coups de chaleur en milieu de journée sur les plaines exposées, les rivières gonflées au printemps et le brouillard ou le vent sur les crêtes. En général, les bureaux locaux d'accueil des pèlerins et les forums en ligne informent sur l'état des sentiers ; les fortes tempêtes ou la neige peuvent vous contraindre temporairement à emprunter des itinéraires alternatifs. En choisissant judicieusement la saison et l'équipement, la plupart des pèlerins ne rencontrent que des conditions météorologiques clémentes.
Parcourir l'intégralité du Camino Francés à une allure régulière de 20 à 25 km par jour prend généralement entre 35 et 40 jours. De nombreux guides (John Brierley, entre autres) considèrent 25 km comme une étape standard. Les débutants peuvent prévoir 20 km par jour (atteignant Saint-Jacques-de-Compostelle en 40 à 45 jours environ), tandis que les randonneurs plus aguerris peuvent viser une moyenne de 30 km par jour et terminer le pèlerinage en 30 jours, voire moins. Il est conseillé de prévoir des jours de repos ou des étapes plus courtes après les passages montagneux.
Pour ceux qui manquent de temps, il existe des exemples d'itinéraires simplifiés : par exemple, un pèlerinage de 10 jours sur le Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle pourrait inclure les sites incontournables (de Saint-Jean à Pampelune, train de nuit pour León, puis de León à Saint-Jacques-de-Compostelle). Ou encore, un pèlerinage de 7 jours axé sur les « Points forts » pourrait inclure Roncevaux → Burgos (5 jours), puis León → Saint-Jacques-de-Compostelle en bus/train (1 jour de repos, 1 dernière étape). L'essentiel est de définir un kilométrage quotidien réaliste.
L'une des étapes courtes les plus courantes est celle des 100 derniers kilomètres depuis Sarria. Le trajet de Sarria à Saint-Jacques-de-Compostelle (100 à 115 km) peut se faire en 5 à 6 jours environ, à raison d'environ 20 km par jour. Ce parcours répond aux critères du bureau des pèlerins pour l'obtention de la Compostela. Exemple :
1. Sarria à Portomarín : ~22 km.
2. Portomarín à Palas de Rei : ~25 km.
3. Palas à Arzúa : ~28 km.
4. Arzúa à O Pedrouzo : ~20 km.
5. De Pedrouzo à Santiago : ~20 km.
Les pèlerins qui marchent à un rythme plus lent (15 km/jour) peuvent mettre 30 à 40 jours sur le Chemin de Compostelle, tandis que les marcheurs très sportifs (plus de 30 km/jour) peuvent le terminer en moins de 30 jours. L'important est la régularité : même 15 à 20 km par jour permettent de parcourir le Chemin, mais cela prend plus de temps.
Se préparer des mois à l'avance permet d'éviter moins de tracas de dernière minute :
Le Chemin de Compostelle s'adapte à tous les budgets. Les auberges (albergues) sont l'hébergement traditionnel : des dortoirs communs coûtant environ 7 à 10 € la nuit. Une couverture ou un matelas de sol est souvent fourni. De nombreuses auberges fonctionnent sur la base d'un don ou d'un tarif fixe modique. Séjourner en auberge est aussi un excellent moyen de se faire des amis, mais attendez-vous à des installations rudimentaires et des sanitaires partagés. Attention : la plupart des auberges municipales exigent la présentation de votre Credencial pour obtenir un lit, et beaucoup imposent des heures de silence après 22 h.
Sinon, les auberges de jeunesse, pensions, chambres d'hôtes ou hôtels privés proposent des chambres privées (y compris des chambres doubles/à deux lits) pour environ 20 à 80 € la nuit. Les hôtels sont confortables mais plus chers. Ils peuvent inclure le petit-déjeuner et une salle de bain privée. Il n'est généralement pas nécessaire de réserver en basse saison, mais en haute saison (juillet-août), il est parfois indispensable de réserver une chambre privée à l'avance, surtout dans les petits villages qui ne comptent qu'une seule auberge. De nombreuses applications de pèlerinage (WisePilgrim, Albergue Finder, sites web des offices locaux) permettent de vérifier les disponibilités. Notez que certains équipements (eau chaude, prises de courant) sont plus fiables dans les hébergements privés.
Stratégie de réservation : Une méthode courante consiste à planifier ses étapes journalières et à arriver en ville en milieu d'après-midi, puis à demander à une auberge de jeunesse de réserver une place ou à marcher jusqu'à la suivante. De nombreux pèlerins prennent le risque de trouver un lit et apprécient cette flexibilité. Ceux qui ont des dates fixes (temps de vacances limité) peuvent préférer réserver des chambres privées ou des formules de voyage organisé incluant l'hébergement. Pour les budgets variés, il est possible de combiner les deux : nuits en dortoir lorsqu'il y a du monde, nuits en chambre privée lorsqu'il y en a.
Transferts de bagages : Comme indiqué, le recours à des porteurs de bagages est fréquent. Vous pouvez organiser les transferts quotidiennement (par exemple, en réservant à l'avance auprès de Correos ou d'une société privée, avec prise en charge des bagages le matin), ou les organiser la veille au soir. Des prestataires comme CaminoWays indiquent des tarifs indicatifs (environ 20 € depuis Sarria). Les prix varient en fonction de la distance et sont généralement par bagage. Vérifiez si votre circuit inclut les transferts.
Le Chemin est bien balisé. Des flèches jaunes sur les panneaux, les poteaux, les pierres et même peintes sur les trottoirs vous guideront. La coquille Saint-Jacques (souvent présente sur les panneaux ou les mosaïques) est l'emblème du chemin. En général, suivez les flèches jaunes et les coquilles : les sentiers convergent vers Saint-Jacques-de-Compostelle.
Outils numériques : La plupart des pèlerins utilisent une combinaison d'applications et de cartes. Parmi les applications populaires, on trouve FarOut (anciennement Guthook Guides), WisePilgrim All Caminos (gratuite) et Camino Ninja, qui fournissent toutes des cartes détaillées des étapes, des profils d'altitude et des points d'intérêt. Les cartes GPS hors ligne sont fortement recommandées (par exemple). Maps.me ou Gaia GPSComme le réseau téléphonique peut être intermittent en montagne, emportez un smartphone avec GPS ou un petit appareil GPS.
Guides touristiques : De nombreux randonneurs emportent encore un guide imprimé. Celui de John Brierley. Guide du Camino de Santiago (ou son alternative galicienne) De village en village) est un classique ; il divise l’itinéraire en étapes traditionnelles avec les distances et les informations sur les auberges. D’autres comme Le guide du randonneur à Santiago Ces guides peuvent également s'avérer utiles. Ils contiennent souvent des cartes des étapes, des listes d'auberges et des conseils pratiques. Ils complètent les applications et sont bien utiles en cas de panne de batterie. Toutefois, rien ne vaut la simplicité du balisage du sentier par beau temps.
Le plus difficile sur le Chemin de Compostelle, ce sont souvent les pieds. Pour éviter les ampoules, commencez par porter des chaussures ou des bottes bien ajustées et des chaussettes adaptées. Comme mentionné précédemment, les chaussettes fines (Injinji) et une crème hydratante peuvent faire toute la différence. En cas d'irritation, appliquez immédiatement un pansement ou un sparadrap. Suivez les règles d'hygiène habituelles : alternez les chaussettes si elles sont mouillées, aérez vos pieds tous les soirs et gardez vos ongles de pieds courts.
Emportez une trousse de premiers secours de base. Elle doit contenir des pansements anti-ampoules, de la crème antiseptique, des bandages et des analgésiques sans ordonnance (ibuprofène ou paracétamol). Une pince à épiler peut retirer les petites échardes. En cas de douleurs musculaires, un ruban adhésif ou un élastique de résistance peut être utile pour les étirements. Une petite trousse de couture permet de réparer son équipement si nécessaire. Le Chemin de Compostelle compte des pharmacies dans la plupart des villes, mais pas sur les portions isolées ; prévoyez donc le nécessaire pour les petits désagréments.
Prévoyez un mélange d'espèces et de cartes bancaires. La monnaie locale est l'euro. De nombreuses auberges, bars et cafés ruraux n'acceptent que les espèces (ils n'ont pas de terminal de carte). En règle générale, gardez sur vous environ 50 à 100 € en petites coupures pour ces établissements. Vous trouverez des distributeurs automatiques de billets (« cajeros » ou « bancomats ») dans la plupart des villes ; sur les grands axes comme Frances, il y en a au moins tous les 2 ou 3 étapes, mais certains villages très isolés peuvent en être dépourvus. Planifiez vos retraits dans les grandes villes pour éviter les frais de retrait ou les distributeurs vides (les frais peuvent s'élever à 3 à 8 € par retrait).
Pour les achats importants (hôtels, restaurants, billets de train), les cartes bancaires (Visa ou MasterCard) sont largement acceptées. De nombreux pèlerins emportent une carte de débit sans frais (Revolut ou équivalent) pour retirer de l'argent facilement et sans commission. Certains petits commerces n'acceptent que les espèces (vérifiez avant de commander). Le pourboire n'est pas obligatoire en Espagne, mais arrondir l'addition (5 à 10 %) au restaurant est apprécié si le service a été bon. Ayez toujours sur vous quelques euros en pièces et en billets.
Communication: L'Espagne bénéficie d'une excellente couverture mobile dans les villes, mais le réseau est parfois intermittent sur certains tronçons de sentier. Pensez à acheter une carte SIM locale (par exemple chez Orange, Movistar ou Vodafone) pour profiter de données et d'appels à bas prix ; 3 à 5 Go suffisent généralement pour les cartes et les applications. Si votre téléphone est déverrouillé, une eSIM (comme Holafly) est également une solution simple. Le Wi-Fi est courant dans les hôtels et les cafés, mais pas partout sur le parcours ; téléchargez donc les cartes et les guides pour une utilisation hors ligne avant de perdre le réseau.
Routines quotidiennes : Vous pouvez laver votre linge à la main aux lavabos ou dans des laveries automatiques payantes. De nombreuses auberges mettent à disposition des cordes à linge (souvent gratuites) ou des lave-linge/sèche-linge à pièces (moyennant une petite participation, 2 à 4 €). Les vêtements de sport à séchage rapide sont très pratiques. Prévoyez de laver votre linge tous les 4 à 5 jours (pour voyager léger). Des douches sont disponibles dans les auberges (généralement incluses ; certaines peuvent demander une petite participation). donationEmportez des tongs pour la douche et une petite serviette à séchage rapide. Des chargeurs à piles ou solaires et un adaptateur de prise (type européen) vous permettront de recharger vos appareils électroniques. La plupart des auberges disposent d'un nombre limité de prises ; pensez donc à recharger vos appareils dès votre arrivée ou pendant vos repas.
Le Chemin de Compostelle est aussi un voyage culturel et historique. Le Chemin français, à lui seul, abrite de nombreux sites inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO. Par exemple, les cathédrales gothiques de Burgos et de León témoignent du riche héritage médiéval du Chemin. Des ponts historiques (comme celui d'Orbigo), des vestiges romains (Astorga) et d'innombrables églises romanes jalonnent le parcours. En Galice, des sites tels que le monastère d'O Cebreiro et l'emblématique cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle mêlent histoire du pèlerinage et traditions vivantes. Soyez attentifs aux signes distinctifs : croix de pierre, coquillages peints sur les panneaux indicateurs et les nombreuses boutiques d'artisanat local vendant des bâtons de marche en bois sculpté et des souvenirs en coquille Saint-Jacques.
Un rituel incontournable est la messe des pèlerins à la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle. Célébrée quotidiennement à midi, souvent en latin et en espagnol, elle inclut, lors des fêtes importantes, le balancement du botafumeiro (encensoir géant). Votre arrivée est enregistrée dans la cathédrale : votre nom et votre origine sont prononcés pendant la messe. Les jours de grandes fêtes (et de nombreux dimanches), huit hommes (les tirabolis) lancent le botafumeiro de 53 kg dans les airs (atteignant jusqu’à 68 km/h) lors d’un rite impressionnant. Assister à la messe et voir le botafumeiro (si votre voyage est programmé) peut constituer une conclusion émouvante à votre pèlerinage.
Étiquette et langage : Les petites politesses sont toujours appréciées. Saluez toujours les autres randonneurs et les habitants avec « Buenos días » ou « Buenas tardes » et dites « Gracias » en cas de gentillesse. Utilisez les fontaines d'eau potable et remplissez votre gourde sans rechigner (cela favorise les bonnes relations). En entrant dans les auberges ou les cafés, retirez vos bottes poussiéreuses à l'entrée si on vous le demande. Le silence ou le fait de parler à voix basse dans les dortoirs la nuit (extinction des feux vers 22 h) est de rigueur. Apprenez quelques phrases en espagnol : "Combien ça coûte?" (combien?), "Où sont les toilettes?" (salle de bain ?), et comme indiqué, «Bon voyage !»Les pèlerins non espagnols apportent souvent de petits présents (gel hydroalcoolique, barres énergétiques) à partager. Pensez à minimiser votre impact sur l'environnement : restez sur les sentiers balisés pour éviter l'érosion.
Quant à la transformation, de nombreux pèlerins témoignent d'un profond changement après le Chemin. Marcher jour après jour offre un temps de réflexion intérieure. Même les interactions les plus simples – un repas partagé avec un inconnu, porter le sac de quelqu'un un instant, ou contempler un lever de soleil – peuvent être bouleversantes. L'écrivain Marlon Vargas a souligné que « l'échange du Buen Camino est un acte concret de reconnaissance et de partage de la présence » sur le chemin. Qu'il s'agisse d'un changement spirituel, d'une résilience mentale ou simplement d'une confiance acquise après une longue marche, la plupart des pèlerins de retour affirment que l'expérience les marque longtemps après l'arrivée. Certains conseillers soulignent même que le Chemin peut faire émerger des émotions inattendues ; il faut donc être ouvert à elles. De manière générale, l'empathie et la solidarité sont les maîtres mots sur le Chemin : des pèlerins de tous horizons s'encouragent mutuellement, formant une communauté éphémère.
Le Chemin est généralement très sûr. Les incidents violents sont rares et la plupart des pèlerins marchent seuls ou en petits groupes. Des vols à la tire peuvent survenir (en ville ou dans les dortoirs si la porte n'est pas verrouillée). Quelques précautions simples permettent de minimiser les risques : ne laissez pas d'objets de valeur sans surveillance, utilisez une ceinture porte-billets et verrouillez votre sac dans les dortoirs. Marche de nuit : on trouve généralement des hébergements sûrs dans les villes après la tombée de la nuit, mais évitez les zones forestières isolées, hors des sentiers balisés. Le numéro d'urgence en Espagne est le 112. En cas d'urgence grave, les villageois et les auberges sont très serviables ; la communauté des pèlerins a pour coutume d'aider les personnes dans le besoin.
Lisbonne est une ville côtière portugaise qui allie avec brio modernité et charme d'antan. Lisbonne est un haut lieu du street art, même si…
Depuis la création d'Alexandre le Grand jusqu'à sa forme moderne, la ville est restée un phare de connaissances, de diversité et de beauté. Son attrait intemporel provient…
Dans un monde où les destinations touristiques sont nombreuses et réputées, certains sites incroyables restent secrets et inaccessibles à la plupart des gens. Pour ceux qui ont l'audace de…
En examinant leur importance historique, leur impact culturel et leur attrait irrésistible, cet article explore les sites spirituels les plus vénérés du monde. Des bâtiments anciens aux sites étonnants…
Si de nombreuses villes magnifiques d'Europe restent éclipsées par leurs homologues plus connues, l'Europe regorge de trésors de villes enchantées. De l'attrait artistique…