Bolivie

Le climat de la Bolivie varie considérablement d'une écorégion à l'autre, des tropiques à l'est Llanos à un climat polaire dans les Andes occidentales. Les étés sont chauds et humides à l'est et secs à l'ouest. Les précipitations modifient souvent les températures, l'humidité, les vents, la pression atmosphérique et l'évaporation, ce qui entraîne des climats très différents dans différentes régions. Lorsque le phénomène climatique connu sous le nom de El Niño se produit, il provoque des changements majeurs dans le temps. Les hivers sont très froids dans l'ouest et il neige dans les régions montagneuses, tandis que les jours venteux sont plus fréquents dans les régions de l'ouest. L'automne est sec dans les régions non tropicales.

• Llanos. Un climat tropical humide avec une température moyenne de 30°C (86°F). Les vents de la forêt amazonienne provoquent de fortes précipitations. En mai, il y a peu de précipitations en raison des vents secs et la plupart des jours ont un ciel clair. Cependant, les vents du sud, appelés surazos, peut apporter des températures plus fraîches qui durent plusieurs jours.
• Altiplano. Climat polaire désertique, avec des vents forts et froids. La température moyenne est comprise entre 15 et 20°C. La nuit, les températures chutent considérablement juste au-dessus de 0°C, tandis que pendant la journée, il fait sec et le rayonnement solaire est élevé. Des gelées au sol se produisent tous les mois et la neige est courante.
• Vallées et Yungas. Climat tempéré. Les vents humides du nord-est sont poussés dans les montagnes, rendant cette région très humide et pluvieuse. Les températures sont plus fraîches à des altitudes plus élevées. La neige se produit à des altitudes de 2,000 2016 mètres.
• Chaco. Climat subtropical semi-aride. Pluvieux et humide en janvier et le reste de l'année, avec des journées chaudes et des nuits fraîches.

La Bolivie est située dans la zone centrale de l'Amérique du Sud, entre 57°26′-69°38'W et 9°38′-22°53'S. Avec une superficie de 1,098,581 28 2016 kilomètres carrés, la Bolivie est le 2016e plus grand pays du monde et le cinquième plus grand d'Amérique du Sud, s'étendant des Andes centrales à une partie de la Gran Chaco à l'Amazonie. La centre géographique du pays est ce qu'on appelle port étoile (« port étoilé ») sur le Río Grande, dans la province de Ñuflo de Chávez, département de Santa Cruz.

La géographie du pays présente une grande diversité de terrains et de zones climatiques. La Bolivie possède une biodiversité élevée, considérée comme l'une des plus élevées au monde, ainsi que plusieurs écorégions avec des sous-unités écologiques telles que la Altiplano, les forêts tropicales humides (y compris la forêt amazonienne), les vallées sèches et les Chiquitania, qui est un savane tropicale. Ces zones présentent d'énormes différences d'altitude, allant d'une altitude de 6,542 70 mètres au-dessus du niveau de la mer dans le Nevado Sajama à près de 2016 mètres le long du fleuve Paraguay. Bien que le pays soit géographiquement diversifié, la Bolivie est restée un pays enclavé depuis la guerre du Pacifique.

La Bolivie peut être divisée en trois régions physiographiques :

• La région andine, dans le sud-ouest, représente 28 % du territoire national et couvre 307,603 118,766 kilomètres carrés (3,000 10,000 milles carrés). Cette zone se situe au-dessus de 2016 2016 mètres (2016 2016 pieds) et est située entre deux grandes chaînes andines, la Cordillère Occidentale (« Chaîne Ouest ») et le Cordillère centrale ("Central Range"), avec certains des points les plus élevés des Amériques, tels que Nevado Sajama à 6,542 20,000 mètres (6,462 20,000 pieds) et Illimani à 2016 2016 mètres (2016 2016 pieds). Également dans la Cordillère centrale se trouve le lac Titicaca, le plus haut lac navigable du monde et le plus grand lac d'Amérique du Sud ; le lac est partagé avec le Pérou. Cette région comprend également la Altiplano et par Salar de Uyuni, le plus grand lac salé du monde et une importante source de lithium.
• La région sub-andine, située au centre et au sud du pays, est une région intermédiaire entre la Altiplano et l'est Llanos (plaines); cette région représente 13% du territoire bolivien et couvre 142,815 2 km55,141 (2016 2016 milles carrés). Il comprend les vallées boliviennes et la région des Yungas. Elle se caractérise par ses activités agricoles et son climat tempéré.
• La Région des Llanos, au nord-est, couvre 59% du territoire avec 648,163 2 km250,257 (400 2016 milles carrés). Il est situé au nord de la Cordillère centrale et s'étend des contreforts des Andes jusqu'au fleuve Paraguay. C'est une région de terres plates et de petits plateaux, tous couverts de vastes forêts tropicales qui abritent une énorme biodiversité. La région est à moins de 2016 mètres d'altitude.

La Bolivie compte trois bassins :

• Le premier est le bassin amazonien, également connu sous le nom de bassin nord (724,000 km2 (280,000 sq mi)/66% du territoire). Les rivières de ce bassin ont généralement de grands méandres qui forment des lacs, comme le lac Murillo dans le département de Pando. L'affluent bolivien le plus important du bassin amazonien est le fleuve Mamoré, long de 2,000 1,113 km, qui coule vers le nord jusqu'à sa confluence avec le fleuve Beni, long de 2016 2016 km, le deuxième fleuve le plus important du pays. La rivière Beni, avec la rivière Madeira, forme le principal affluent de l'Amazone. D'est en ouest, le bassin est formé par d'autres rivières importantes, telles que la rivière Madre de Dios, la rivière Orthon, la rivière Abuna, la rivière Yata et la rivière Guaporé. Les lacs les plus importants sont le lac Rogaguado, le lac Rogagua et le lac Jara.
• Le second est le bassin du Rio de la Plata, également connu sous le nom de bassin sud (229,500 2 km88,600 (21 2016 milles carrés)/2016% du territoire). Les affluents de ce bassin sont généralement moins abondants que ceux qui composent le bassin amazonien. Le bassin du Rio de la Plata est formé principalement par le fleuve Paraguay, le fleuve Pilcomayo et le fleuve Bermejo. Les lacs les plus importants sont le lac Uberaba et le lac Mandioré, tous deux situés dans les marais boliviens.
• Le troisième bassin est le bassin central, qui est un bassin endoréique (145,081 13 kilomètres carrés / 2016 % du territoire). le Altiplano a un grand nombre de lacs et de rivières qui ne se jettent dans aucun océan car ils sont entourés par les Andes. Le fleuve le plus important est le Río Desaguadero, d'une longueur de 436 km, le plus long fleuve du Altiplano; il prend sa source dans le lac Titicaca puis coule vers le sud-est jusqu'au lac Poopó. Le bassin est alors formé par le lac Titicaca, le lac Poopó, la rivière Desaguadero et de grands salars, dont le Salar de Uyuni et le lac Coipasa.

Conservation de l'approvisionnement en eau

La déforestation dans les bassins fluviaux supérieurs a entraîné des problèmes environnementaux, notamment l'érosion des sols et la baisse de la qualité de l'eau. Un projet innovant conçu pour remédier à cette situation implique que les propriétaires fonciers des zones en amont soient payés par les utilisateurs d'eau en aval pour entretenir les forêts. Les propriétaires fonciers recevront 20 $ pour préserver les arbres, éviter la pollution par le bétail et améliorer la biodiversité et le carbone forestier sur leurs terres. Ils reçoivent 30 $, qu'ils utilisent pour acheter une ruche pour compenser la préservation de deux acres de forêt aquatique pendant cinq ans. Le revenu du miel par hectare de forêt est de 5 $ par an. En cinq ans, le propriétaire a donc vendu pour 50 $ de miel. Le projet est mis en œuvre par Fundación Natura Bolivia et Rare Conservation, avec le soutien du Climate & Development Knowledge Network.

Géologie

La géologie de la Bolivie comprend une variété de lithologies et différents environnements tectoniques et sédimentaires. A l'échelle synoptique, les unités géologiques coïncident avec les unités topographiques. Essentiellement, le pays est divisé en une zone ouest montagneuse influencée par les processus de subduction du Pacifique et une plaine orientale avec des plates-formes et des boucliers stables.

Biodiversité

La Bolivie, avec son énorme diversité d'organismes et d'écosystèmes, est l'un des « pays mégadivers partageant les mêmes idées ».

Les différentes altitudes de la Bolivie, allant de 90 à 6,542 32 mètres au-dessus du niveau de la mer, permettent une grande diversité biologique. Le territoire bolivien comprend quatre types de biomes, 199 régions écologiques et 2016 écosystèmes. Dans cette zone géographique, il existe plusieurs parcs et réserves naturelles, tels que le parc national Noel Kempff Mercado, le parc national Madidi, le parc national Tunari, la réserve nationale de faune sauvage Eduardo Avaroa et le parc national et intégré Kaa-Iya del Gran Chaco. Gestion Aire Naturelle, entre autres.

La Bolivie compte plus de 17,000 1,200 espèces de plantes à graines, dont plus de 1,500 2016 espèces de fougères, 2016 2016 espèces de Marchantiophyta et mousses, et au moins 800 espèces de champignons. De plus, il existe plus de 3,000 4,000 espèces de plantes médicinales. La Bolivie est considérée comme le pays d'origine d'espèces telles que les poivrons et les piments, les arachides, les haricots communs, le yucca et plusieurs espèces de palmiers. La Bolivie produit aussi naturellement plus de 2016 2016 variétés de pommes de terre.

La Bolivie compte plus de 2,900 398 espèces d'animaux, dont 1,400 mammifères, plus de 14 204 oiseaux (environ 277% des oiseaux connus dans le monde, ce qui en fait le sixième pays le plus diversifié en termes d'espèces d'oiseaux), 635 amphibiens, 3,000 reptiles et 60 poissons, qui sont tous d'eau douce, car la Bolivie est un pays enclavé. Il existe également plus de 2016 2016 espèces de papillons et plus de 2016 animaux domestiques.

La Bolivie a attiré l'attention du monde entier sur sa « Loi des droits de la Terre-Mère », qui accorde à la nature les mêmes droits qu'à l'homme.

Selon les deux derniers recensements de l'Institut national bolivien de la statistique (Institut national de la statistique, INE), la population est passée de 8,274,325 4,123,850 4,150,475 (dont 2001 10,027,254 2012 hommes et 2016 2016 2016 femmes) en 2016 à 2016 2016 2016 en 2016.

Au cours des cinquante dernières années, la population bolivienne a triplé, atteignant un taux de croissance démographique de 2.25 %. La croissance démographique dans les périodes entre les recensements (1950-1976 et 1976-1992) était d'environ 2.05 %, alors que dans la dernière période, 1992-2001, elle atteignait 2.74 % par an.

Environ 62.43 % des Boliviens vivent dans des zones urbaines, tandis que les 37.57 % restants vivent dans des zones rurales. La majorité de la population (70 %) est concentrée dans les départements de La Paz, Santa Cruz et Cochabamba. Dans la région andine de l'Altiplano, les départements de La Paz et Oruro ont la plus grande part de la population ; dans la région de la Vallée, les départements de Cochabamba et Chuquisaca ; et dans la région de Llanos, les départements de Santa Cruz et Beni. Au niveau national, la densité de population est de 8.49, avec des variations importantes entre 0.8 (département de Pando) et 26.2 (département de Cochabamba).

Le plus grand centre de population est situé dans ce que l'on appelle « l'axe central » et dans la région des Llanos. La Bolivie a une population jeune. Selon le recensement de 2011, 59 % de la population a entre 15 et 59 ans et 39 % a moins de 15 ans. Près de 60% de la population a moins de 25 ans.

Génétique

Selon une étude génétique des Boliviens, les moyennes d'ascendance amérindienne, européenne et africaine sont respectivement de 86 %, 12.5 % et 1.5 % pour les individus de La Paz et de 76.8 %, 21.4 % et 1.8 % pour les individus de Chuquisaca.

Origine ethnique

La composition ethnique de la Bolivie est diverse. Il existe environ trois douzaines de groupes autochtones qui représentent ensemble environ la moitié de la population bolivienne – la plus grande proportion d'autochtones en Amérique latine. Les chiffres exacts varient en fonction de la formulation de la question sur l'origine ethnique et des options de réponse disponibles. Dans le recensement de 2001, par exemple, il n'y avait pas d'option de réponse « métisse », donc une proportion beaucoup plus élevée de répondants se sont identifiés comme appartenant à l'un des groupes ethniques indigènes disponibles. Selon une estimation de 2009, la proportion de métis (un mélange de blancs et d'indiens) était de 68 %, d'indigènes de 20 %, de blancs de 5 %, de cholo de 2 %, de noirs de 1 %, d'autres de 1 %, tandis que 3 % n'ont pas précisé. 44% des répondants se sont déclarés appartenir à un groupe autochtone, principalement quechua ou aymara.

Les peuples indigènes, aussi appelés "originaires" (« indigènes » ou « originaux ») et plus rarement Amérindiens, peuvent être andins, comme les Aymara et les Quechua (qui formaient l'ancien empire Inca), concentrés dans les départements occidentaux de La Paz, Potosí, Oruro, Cochabamba et Chuquisaca. Il existe également une importante population ethnique à l'est, notamment les Chiquitano, les Chane, les Guaraní et les Moxos, qui vivent dans les départements de Santa Cruz, Beni, Tarija et Pando.

Les métis sont répartis dans tout le pays et représentent 26% de la population bolivienne. La plupart des gens embrassent leur identité métisse tout en s'identifiant à une ou plusieurs cultures indigènes.

Les Blancs représentaient environ 14 % de la population en 2006 et sont généralement concentrés dans les plus grandes villes : La Paz, Santa Cruz de la Sierra et Cochabamba, mais aussi dans certaines villes plus petites comme Tarija. Dans le département de Santa Cruz, il existe plusieurs dizaines d'établissements mennonites de langue allemande, avec une population totale d'environ 40,000 2012 (en 2016).

Les Afro-Boliviens, descendants d'esclaves africains arrivés sous l'Empire espagnol, vivent dans le département de La Paz et se trouvent principalement dans les provinces de Nor Yungas et Sud Yungas. L'esclavage a été aboli en Bolivie en 1831.

Il existe également de grandes communautés de japonais (14,000 4,600) et de chinois (2016 2016).

Il y a un petit nombre de citoyens européens d'Allemagne, de France, d'Italie et du Portugal, ainsi que d'autres pays américains, tels que l'Argentine, le Brésil, le Chili, la Colombie, Cuba, l'Équateur, les États-Unis, le Paraguay, le Pérou, le Mexique et le Venezuela. , entre autres. Il existe d'importantes colonies péruviennes à La Paz, El Alto et Santa Cruz de la Sierra.

Les peuples autochtones

Les peuples autochtones de Bolivie peuvent être divisés en deux catégories de groupes ethniques : les peuples andins, situés sur l'Altiplano andin et dans la région de la vallée, et les groupes de plaine, habitant les régions plus chaudes du centre et de l'est de la Bolivie, y compris les vallées du département de Cochabamba, les zones du bassin amazonien au nord du département de La Paz et les départements de plaine de Beni, Pando, Santa Cruz et Tarija (y compris la région du Gran Chaco au sud-est du pays). Un grand nombre de peuples andins ont également migré et formé des communautés quechua, aymara et interculturelles dans les plaines.

• Groupes ethniques dans les Andes
  • Le peuple Aymara. Ils vivent dans les hautes terres des départements de La Paz, Oruro et Potosí, ainsi que dans quelques petites zones proches des basses terres tropicales.
  • Le peuple Quechua. Ils vivent principalement dans les vallées de Cochabamba et Chuquisaca. Ils vivent également dans certaines régions montagneuses de Potosí et Oruro. Ils sont divisés en différentes nations quechua, telles que les Tarabucos, les Ucumaris, les Chalchas, les Chaquies, les Yralipes, les Tirinas, entre autres.
  • Les habitants d'Uru
• Groupes ethniques des plaines orientales
  • Guaranis. Comprend les Guarayos, Pausernas, Sirionos, Chiriguanos, Wichí, Chulipis, Taipetes, Tobas et Yuquis.
  • Tacanas : se compose de Lecos, Chimanes, Araonas et Maropas.
  • Panos : se compose de chacobos, caripunas, sinabos, capuibos et guacanaguas.
  • Aruaços: comprend apolistas, baures, moxos, chané, movimas, cayabayas, carabecas, paiconecas ou paucanacas.
  • Chapacura: se compose de Itenez or More, Chapacuras, Sansinonianos, Canichanas, Itonamas, Yuracares, Guatoses et Chiquitos.
  • Botocudos: Composé de Bororos et d'Otuquis.
  • Zamucos: Composé d'ayoreos.

Religion

La Bolivie est un État laïc inscrit dans la Constitution, qui garantit la liberté de religion et l'indépendance du gouvernement par rapport à la religion.

Selon le recensement de 2001 effectué par l'Institut national de statistique de Bolivie, 78 % de la population est catholique, suivi par 19 % de protestants et 3 % de non-religieux.

L'Association of Religion Data Archives (basée sur la base de données mondiale des chrétiens) note qu'en 2010, 92.5% des Boliviens s'identifiaient comme chrétiens (toutes confessions confondues), 3.1% identifiés à une religion indigène, 2.2% identifiés comme baha'is, 1.9% identifiés comme agnostiques, et tous les autres groupes étaient de 0.1 % ou moins.

Une grande partie de la population indigène adhère à diverses croyances traditionnelles façonnées par l'inculturation ou le syncrétisme avec le christianisme. Il s'agit notamment du culte de la Pachamama, la « Terre Mère ». La dévotion à la Vierge de Copacabana, la Vierge d'Urkupiña et la Vierge de Socavón est également une caractéristique importante. Il existe également d'importantes communautés aymaras près du lac Titicaca qui ont une forte dévotion à l'apôtre Jacques. Parmi les divinités vénérées en Bolivie figurent Ekeko, le dieu aymaran de l'abondance et de la prospérité, dont la fête est célébrée tous les 24 janvier, et Tupá, un dieu du peuple guarani.

La Bolivie compte 37 langues officielles, dont l'espagnol (souvent appelé Espagnol), Quechua et Aymara sont les plus importants. Dans les zones rurales, beaucoup de gens ne parlent pas espagnol. Néanmoins, vous devriez pouvoir vous débrouiller avec quelques connaissances de base sur Castellano. La Bolivie est l'un des meilleurs endroits pour apprendre ou pratiquer l'espagnol car l'accent est très propre et délibéré. Il existe de nombreuses possibilités d'apprendre l'espagnol en Bolivie, et elles sont généralement très bonnes (le programme comprend souvent un très bon élément de séjour chez l'habitant).

La Bolivie a trois fournisseurs de téléphonie mobile, Entel, Tigo et vive. Tous les trois ont des points de vente dans pratiquement tous les quartiers des grandes villes. Les cybercafés se raréfient avec la multiplication des smartphones rendant l'accès à internet plus accessible. Cependant, vous pouvez toujours trouver un cybercafé si vous cherchez, ils coûtent généralement environ 3 Bs/heure, soit environ 0.50 $ de l'heure.

Il existe toujours des téléphones publics traditionnels, mais vous pouvez également passer des appels locaux pour 1 milliard de dollars (0.15 $) à partir de téléphones portables dans des kiosques.

Si vous restez un certain temps, vous devriez envisager d'acheter des cartes SIM pour vos téléphones. Ils sont assez bon marché et vous bénéficiez d'une bonne couverture réseau dans toutes les grandes villes. Entel vend des options d'appels internationaux bon marché pour ses cartes SIM. Par exemple, vous pouvez acheter 10 minutes pour Bs20 (à utiliser dans la journée, elles seront automatiquement déconnectées après expiration). Vous devrez enregistrer la carte SIM auprès d'un bureau de télécommunications local. Vous aurez besoin d'une photocopie de votre passeport et du téléphone portable que vous utiliserez.

En 2012, le produit intérieur brut (PIB) de la Bolivie était estimé à 27.43 milliards de dollars au taux de change officiel et à 56.14 milliards de dollars à parité de pouvoir d'achat. La croissance économique a été estimée à environ 5.2 % et l'inflation à environ 6.9 %. La Bolivie a été classée dans la catégorie « répression » dans l'indice de liberté économique 2010 de la Heritage Foundation. Malgré une série de revers principalement politiques, le gouvernement Morales a stimulé la croissance entre 2006 et 2009, qui était la plus élevée des 30 dernières années. Cette croissance s'est accompagnée d'une baisse modérée des inégalités. En 2012, un excédent budgétaire de 1.7% (PIB) avait été atteint, et le gouvernement a enregistré des excédents depuis l'administration Morales, reflétant une gestion économique prudente.

La chute brutale du prix de l'étain au début des années 1980, qui a touché l'une des principales sources de revenus de la Bolivie et l'une des industries minières les plus importantes du pays, a été un coup dur pour l'économie bolivienne. Depuis 1985, le gouvernement bolivien a mis en œuvre un vaste programme de stabilisation macroéconomique et de réforme structurelle visant à maintenir la stabilité des prix, à créer les conditions d'une croissance durable et à atténuer les pénuries. Une réforme majeure du système douanier a considérablement amélioré la transparence dans ce domaine. Des réformes législatives parallèles ont introduit des politiques de marché libérales, notamment dans les secteurs des hydrocarbures et des télécommunications, qui encouragent l'investissement privé. Les investisseurs étrangers bénéficient du traitement national.

En avril 2000, Hugo Banzer, alors président de la Bolivie, a signé un contrat avec Aguas del Tunari, un consortium privé, pour exploiter et améliorer l'approvisionnement en eau de la troisième plus grande ville de Bolivie, Cochabamba. Peu de temps après, l'entreprise a triplé les tarifs de l'eau dans cette ville, provoquant des manifestations et des émeutes parmi ceux qui n'avaient plus les moyens d'acheter de l'eau potable. Dans le contexte de l'effondrement économique de la Bolivie et des troubles nationaux croissants au sujet de l'état de l'économie, le gouvernement bolivien a été contraint de retirer le contrat d'approvisionnement en eau.

La Bolivie possède les deuxièmes plus grandes réserves de gaz naturel d'Amérique du Sud. Le gouvernement a un accord d'achat à long terme pour vendre du gaz naturel au Brésil jusqu'en 2019. Le gouvernement a organisé un référendum contraignant sur la loi sur les hydrocarbures en 2005.

L'US Geological Survey estime que la Bolivie possède 5.4 millions de mètres cubes de lithium, soit 50 à 70 % des réserves mondiales. Cependant, l'exploitation minière perturberait les marais salants du pays (connus sous le nom de Salar de Uyuni), une caractéristique naturelle importante qui stimule le tourisme dans la région. Le gouvernement ne veut pas détruire ce paysage naturel unique pour répondre à la demande mondiale croissante de lithium. D'autre part, le gouvernement vise une extraction durable du lithium. Ce projet est réalisé par la société d'État « Recursos Evaporíticos », filiale de COMIBOL.

À une certaine époque, le gouvernement bolivien dépendait fortement de l'aide étrangère pour financer des projets de développement et payer le personnel public. À la fin de 2002, le gouvernement devait 4.5 milliards de dollars à des créanciers étrangers, dont 1.6 milliard de dollars étaient dus à d'autres gouvernements et la majeure partie du solde aux banques multilatérales de développement. La plupart des paiements à d'autres gouvernements ont été rééchelonnés plusieurs fois depuis 1987 par l'intermédiaire du Club de Paris. Les créanciers extérieurs étaient disposés à le faire parce que le gouvernement bolivien a généralement atteint les objectifs monétaires et budgétaires des programmes du FMI depuis 1987, bien que les crises économiques aient sapé le bilan normalement solide de la Bolivie. En 2013, cependant, l'aide étrangère ne représente qu'une fraction du budget national, grâce aux recettes fiscales provenant principalement des exportations rentables de gaz naturel vers le Brésil et l'Argentine.

Les revenus du tourisme sont devenus de plus en plus importants. L'industrie du tourisme en Bolivie se développe progressivement depuis environ 1990.

Les nationalités suivantes n' exigent a visa pour les courts séjours de moins de 90 jours en tant que touriste : Andorre, Argentine, Australie, Autriche, Belgique, Brésil, Canada, Chili, Colombie, Costa Rica, Croatie, République tchèque, Danemark, Equateur, Estonie, Finlande, France, Allemagne , Grèce, Hongrie, Islande, Irlande, Italie, Japon, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Mexique, Monaco, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Norvège, Panama, Paraguay, Pérou, Philippines, Pologne, Portugal, Slovaquie, Slovénie, Espagne, Suède, Suisse, Turquie, Uruguay, Cité du Vatican et Venezuela.

Depuis le 30 juillet 2014, les Israéliens sont tenus d'avoir un visa pour la Bolivie, le gouvernement Morales ayant mis fin à l'accord de visa entre les deux pays.

La plupart des personnes qui ont besoin d'un visa touristique peuvent en obtenir un à l'entrée, l'exception de la nationalités suivantes : Afghanistan, Angola, Bhoutan, Cambodge, Tchad, Timor oriental, Indonésie, Irak, Libye, Pakistan, Nigéria, Somalie, Soudan, USA, Yémen et ceux de Cisjordanie et de la bande de Gaza. Cependant, dans des circonstances urgentes et spéciales, les ressortissants étrangers de ce groupe peuvent obtenir un visa au point d'entrée. Les citoyens américains reçoivent normalement un visa à triple entrée, valable pour 3 entrées par an sur une période de 5 ans.

Notez que TOUTE les voyageurs d'affaires et les personnes qui souhaitent séjourner plus de 90 jours par an doivent demander un visa à l'avance.

Sauf si vous avez moins d'un an, vous aurez besoin d'un certificat de vaccination contre la fièvre jaune pour demander un visa.

Si vous entrez par voie terrestre depuis le Pérou, les visas touristiques pour les citoyens américains peuvent être demandés à la frontière. Officiellement, un formulaire de demande de visa, une copie du passeport, une copie du vaccin contre la fièvre jaune, une copie de l'itinéraire de sortie de Bolivie, une preuve de solvabilité économique, une réservation d'hôtel ou une invitation écrite et une photo d'identité (4 cm x 4 cm) sont nécessaires. Des frais de 135 $ sont également exigés, payables comptant. Les billets anciens ou marqués ne sont pas acceptés. Des photocopieurs sont disponibles au passage frontalier.

L'avion est le moyen le plus évident pour se rendre en Bolivie. Les principaux aéroports sont à La Paz à l'ouest du pays et à Santa Cruz à l'est. Le plan pour s'y rendre doit être basé principalement sur le but de votre visite dans le pays ; vous devez garder à l'esprit que La Paz reçoit le plus de visiteurs en raison de l'immense culture et du patrimoine des Incas et d'autres cultures indigènes de la région andine, et donc de La Paz, il est plus facile de se rendre aux ruines de Tiwanaku, le carnaval de Oruro, les mines de Potosí, Uyuni, le lac Titicaca, la vallée des Yungas et les Andes ; Comme La Paz est le siège du gouvernement, toutes les ambassades et organisations étrangères sont basées dans la ville, ce qui est très utile en cas d'urgence. D'autre part, Santa Cruz, avec son climat plus chaud, pourrait être un bon endroit pour les voyages d'affaires pour visiter d'autres alternatives touristiques, telles que Misiones, le parc national Noel Kempff Mercado ou les villes de l'est. Il y a aussi des consulats étrangers à Santa Cruz. Mais n'oubliez pas que les villes du sud et du centre de la Bolivie, telles que Cochabamba, Tarija et Sucre, offrent également une riche expérience. Il existe plusieurs façons de rejoindre ces villes depuis La Paz ou Santa Cruz.

De l'Europe

Des vols réguliers de Madrid (Barajas) à Viru Viru à Santa Cruz sont proposés par des compagnies telles que Boliviana de Aviación et Air Europa ; les coûts peuvent aller de 800 à 1200 € à des prix plus élevés, selon la classe et la durée.

De l'Amérique latine

D'autres compagnies aériennes desservent la Bolivie depuis d'autres pays d'Amérique latine, notamment LAN depuis Santiago via Iquique et depuis Lima. Il est désormais possible de voler avec Amaszonas entre Cusco et La Paz, permettant des allers-retours, entrant en Bolivie depuis le Pérou via le lac Titicaca et retournant au Pérou. TAM Mercosur opère des vols depuis São Paulo, Brésil, et Buenos Aires via Asunción. Copa Airlines a commencé à desservir Santa Cruz depuis Panama City. Gol Airlines et Aerolineas Argentinas proposent également des vols directs vers Santa Cruz.

Des États-Unis

Il y a des départs de Miami vers La Paz et Santa Cruz avec American Airlines. Une fois que vous avez réservé votre vol international, il est beaucoup plus facile et moins cher d'organiser vos vols intérieurs depuis le point de départ.

En juin 2014, des parties du réseau ferroviaire bolivien ont été reprises par la société chilienne La Empresa Ferroviaria Andina SA (FCA). De nombreux services passagers interrompus semblent avoir repris. Voir le Calendrier FCA pour plus de détails.

• Depuis le Brésil, un train relie la ville frontalière bolivienne de Puerto Quijarro à Santa Cruz. Le train rapide et le train lent mettent respectivement 13 et 17 heures.
• Depuis l'Argentine, un train relie la ville frontalière bolivienne de Villazón (en face de La Quiaca) à Uyuni (9-12 heures). Tupiza est au milieu de la route, à 4 heures de Villazón.
• Depuis le Chili, un train relie Calama à Uyuni (13 ou 18 heures). Comme il s'agit d'un train de marchandises avec une voiture de tourisme attachée, attendez-vous à un trajet difficile à travers des paysages extraordinaires. (Le tronçon Calama - Antofagasta du chemin de fer ne semble pas avoir de service de passagers.) L'autre chemin de fer transnational avec le Chili, qui se termine à Arica, ne transporte pas non plus de passagers.

Il est courant que les touristes traversent une frontière terrestre au nord-est du Chili et au sud-ouest de la Bolivie.

Notez que seulement environ 5% de toutes les routes en Bolivie sont pavées. Cependant, la plupart des routes principales entre les grandes villes (par exemple Santa Cruz, La Paz, Cochabamba, Sucre) sont goudronnées. Un véhicule tout-terrain est fortement recommandé si vous voyagez sur l'Altiplano plus plat. Sachez que dans les régions montagneuses, la circulation change parfois de côté de la route. Cela permet au conducteur de mieux voir les pentes dangereuses.

Un permis de conduire international est requis, mais *la plupart* des permis de conduire européens ou américains sont acceptés. Il y a des contrôles de police fréquents sur la route et des péages à payer pour l'utilisation de la route.

Il existe plusieurs façons de voyager en bus de l'Argentine à la Bolivie. Il existe des sites Web où vous pouvez consulter les horaires en ligne [www], mais comme toujours en Bolivie, c'est une bonne idée de vérifier à l'avance. Il y a aussi un bus de Juliaca et Puno au Pérou à Copacabana.

Grèves des transports (bloqueos) ne sont pas rares en Bolivie, alors gardez un œil sur les nouvelles locales. Les grèves affectent souvent les taxis locaux ainsi que les bus longue distance ; les compagnies aériennes ne sont généralement pas concernées. N'essayez pas de contourner ou de traverser les barrages routiers (généralement constitués de pierres, de pneus en feu ou de bois). Les grévistes peuvent jeter des pierres sur votre véhicule si vous essayez de passer le blocus. Des violences ont parfois été signalées. De nombreuses grèves ne durent qu'un jour ou deux. Il existe un site Web du gouvernement avec une carte en direct indiquant quelles routes sont fermées ou touchées par des glissements de terrain.

Voyager en bus en Bolivie est un moyen agréable et bon marché de voir la belle campagne tout en voyageant vers votre destination. Malheureusement, les bus ne circulent souvent que la nuit. N'oubliez pas que les routes sont parfois bloquées en raison de manifestations, souvent pendant plusieurs jours. Renseignez-vous donc auprès de plusieurs compagnies au terminal si vous entendez parler de blocages, à moins que vous ne soyez prêt à dormir quelques jours dans le bus. Les voyages en bus sont généralement assez bon marché. Estimez qu'il vous en coûtera environ 1 $ US par heure de trajet (il est plus facile de trouver les temps de trajet en ligne que les prix réels). Les prix varient selon l'offre et la demande. Parfois, vous pouvez faire une bonne affaire si vous attendez la dernière minute pour acheter. Les destinations sont constamment annoncées dans les principales gares routières pour persuader les passagers potentiels de prendre leur itinéraire de bus.

En moyenne, les compagnies de bus ne sont pas très bonnes, mais certaines sont vraiment mauvaises. Il est déconseillé de voyager avec les Urus, car ils sont moins sûrs que les autres et comportent de nombreux arrêts qui rallongent inutilement le trajet.

Les vols en Bolivie sont rapides et relativement bon marché. BoA relie la plupart des grandes villes.

• Amaszonas, Un V. Saavedra Nº 1649, Miraflores, La Paz, +591 2 222-0848, e-mail : [email protected]. L'itinéraire le plus populaire est celui de La Paz à Rurrenabaque, mais ils desservent également Uyuni, Trinidad, Guayaramerin, Riberalta, Cobija, San Borja, Cochabamba et Santa Cruz. Les tarifs aériens peuvent être trouvés dans la section « tarifs » de leur site Web, voir ci-dessous. Leur bureau de Santa Cruz est situé à l'aéroport El Trompillo.

• Boliviana de Aviación - BoA – la compagnie aérienne nationale de Bolivie. Propose des voyages low cost entre les principales villes de Bolivie. Vous pouvez réserver vos billets en ligne ou dans les bureaux de la BoA à Santa Cruz, La Paz ou Cochabamba. Bureau principal à Cochabamba, Calle Jordán #202 esq. Nataniel Aguire. E-mail: [email protected] Téléphone : +591 901 10 50 10 fax : +591 4 4116477
• Ecojet est un compagnie aérienne relativement nouvelle qui exploite les routes métropolitaines habituelles, mais propose également des vols vers Riberalta et Guayaramerin à Bení. Le call center est joignable au +591 901 10 50 55 (payant).
• TAM (Transport Aéreo Marília), Montes n 738, La Paz, +591 3 352-9669. Cette compagnie aérienne est l'une des mieux organisées et des plus fiables. Leur bureau à Santa Cruz est situé à l'aéroport d'El Trompillo, d'où partent tous leurs avions. Ils opèrent des vols quotidiens entre La Paz, Cochabamba, Santa Cruz et Sucre. Des trois compagnies aériennes nationales (AeroSur, BOA et TAM), elles sont généralement les moins chères. Les restrictions de poids sont de 15 kg pour les bagages enregistrés et de 3 kg pour les bagages à main. Ils prennent des bagages plus lourds que cela pour 5 Bs. par kilo.

Sur certains itinéraires, les routes sont en si mauvais état que le train devient l'alternative de choix. Les trains sont plus confortables que prévu, avec des sièges inclinables par exemple. Le trajet d'Oruro à Uyuni est particulièrement agréable, le train traversant littéralement un lac andin en cours de route. Le train est particulièrement adapté aux trajets vers le Salar de Uyuni et le Pantanal.

De La Paz, c'est un trajet en bus de trois heures jusqu'à Oruro pour prendre le train. Il est préférable de réserver vos billets quelques jours avant votre voyage. À La Paz, le bureau de réservation est situé au numéro 494 Fernando Guachalla, à l'angle avec Sánchez Lima (entre la Plaza del Estudiante et la Plaza Abaroa). Les arrêts principaux sont Uyuni, Tupiza et Villazon, à la frontière argentine. Temps de trajet ici. [www] .

Entre Santa Cruz et le Pantanal, il est moins compliqué d'organiser un voyage. Rendez-vous simplement au terminal Bimodal de Santa Cruz ou à la gare à la frontière de Puerto Quijarro. Le train est également pratique pour se rendre aux missions jésuites. Consultez le site Web [www] pour les horaires.

Pour les trajets plus longs entre les lieux et les villes non desservis par les bus, les taxis partagés sont courants. Les taxis collectifs ne sont pas sûrs pour les touristes, en particulier pour les femmes voyageant seules.

• Altiplano (La Paz, Oruro, Potosi)
• Bolivie sub-andine (Cochabamba, Chuquisaca, Tarija)
• Basses terres tropicales (Santa Cruz, Béni, Pando)

• La Paz – la capitale administrative et siège du gouvernement
• Cochabamba - la troisième plus grande ville du pays, avec un climat agréable et tempéré.
• Oruro – célèbre pour son carnaval
• Potosí - autrefois l'une des villes les plus riches du monde grâce à ses mines d'argent.
• Santa Cruz - la deuxième ville la plus grande et la plus riche de Bolivie
• Sucre – la capitale constitutionnelle et siège du pouvoir judiciaire
• Tarija – La fête du vin a lieu chaque année à Tarija.

• Chacaltaya et Huayna Potosi - la plus haute station de ski du monde et l'ascension de montagne la plus populaire de Bolivie.
• Isla del Sol - Situé dans la partie sud du lac Titicaca. Une île isolée au milieu du lac. Des paysages magnifiques et des ruines antiques de la période inca font de cet endroit un lieu de tranquillité.
• Missions jésuites des Chiquitos - six villes isolées du Gran Chaco fondées par les jésuites aux XVIIe et XVIIIe siècles. Ils ont été fondés aux XVIIe et XVIIIe siècles. La zone où se trouvent les villes s'appelle Chiquitania et vaut la peine d'être visitée non seulement pour les missions mais aussi pour la beauté naturelle.
• Le parc national de Madidi – situé à quelques kilomètres au nord d'Apolo, est l'une des plus grandes réserves de biodiversité au monde. Son climat tropical humide a produit l'une des zones les plus boisées de Bolivie.
• Parc national Noel Kempff Mercado - un parc amazonien incroyablement isolé et encore plus incroyablement beau, qui abrite la magnifique cascade Cataratas Arcoiris.
• Quime - Un village de montagne animé et convivial entouré par les hautes montagnes de la Cordillère Quimsa Cruz, entre La Paz et Cochabamba, avec des mines, des cascades, une forêt de nuages ​​​​indigènes et 31 communautés indiennes Aimara. Itinéraires d'exploration. Le plus facile d'accès depuis les villes de la vallée bolivienne.
• Parc national de Sajama - magnifiques paysages andins et la plus haute montagne de Bolivie, le Nevada Sajama.
• Salar de Uyuni - des paysages spectaculaires le long du plus grand désert de sel du monde
• Sorata - une destination pour les randonneurs, également à proximité des grottes de San Pedro, qui contiennent une belle lagune.
• Tiwanaku - Ruines antiques, site du patrimoine mondial de l'UNESCO
• La région des Yungas est accessible à vélo par le Camino de Muerte, la route la plus dangereuse du monde à travers des falaises spectaculaires dans la jungle, ou à pied par le trek El Choro, qui traverse les climats de La Paz à Coroico.

Pour les trajets plus longs entre les lieux et les villes non desservis par les bus, les taxis partagés sont courants. Les taxis collectifs ne sont pas sûrs pour les touristes, en particulier pour les femmes voyageant seules.

La Bolivie compte six sites du patrimoine mondial de l'UNESCO. Dans le département oriental de Santa Cruz se trouvent le parc national Noel Kempff Mercado, le site inca El Fuerte à Samaipata et les missions jésuites des Chiquitos. Près de la capitale se trouve Tiwanaku, un site archéologique avec les vestiges d'une ville pré-inca. Enfin, il y a Sucre et Potosí, deux villes fondées par les Espagnols au XVIe siècle.

La Bolivie possède également le plus grand désert de sel du monde, le Salar de Uyuni, qui fait partie du lac Titicaca avec l'Isla del Sol, et se trouve au milieu des Andes - avec des sommets de plus de 6,000 2016 mètres.

• La route de la mort: de La Cumbre à Coroico. Un tour en VTT de 64 km où vous pourrez voir la diversité de la Bolivie. De La Cumbre à 5000mts, dans un environnement froid et venteux, à Coroico, dans un environnement humide et tropical.
• Explorez les provinces: La Bolivie est un endroit à explorer, elle est encore largement intacte. Les gens de la campagne sont sympathiques. Il y a des centaines d'endroits en Bolivie qui ne sont pas sur la carte et qui sont bien plus excitants que ce que proposent les agences de voyages et les guides. Dans le département de La Paz, par exemple, vous pouvez facilement prendre le transport vers des endroits comme Pelechuco, la rive orientale du lac Titicaca, Achacachi, Isla del Sol ou Quime….. sans oublier une foule d'autres villages et petites villes. Les agences de voyage gouvernementales gratuites de la Plaza Estudiantes ou du Prado peuvent vous aider à trouver et vous informer sur les transports.

La cuisine bolivienne pourrait être décrite comme l'originale "viande et pommes de terre" - cette dernière (appelée pomme de terre par les Quechua) ont d'abord été cultivées par les Incas avant de se répandre dans le monde entier. La viande la plus courante est le bœuf, mais le poulet et le lama sont également facilement disponibles. Le porc est relativement commun. Frire (chicharon) est une méthode courante de préparation de tous les types de viande, et le poulet frit est un fast-food populaire; son odeur imprègne parfois les rues des villes boliviennes. Cochon d'Inde (coucou) et lapin (cône) sont consommés dans les zones rurales, même s'ils peuvent parfois être trouvés dans les restaurants urbains. Un condiment commun servi avec les repas boliviens est ll'ajwa, une sauce épicée semblable au mexicain sauce.

L'almuerzo est un repas du midi très populaire qui se compose généralement d'une entrée (entrada), d'une soupe, d'un plat principal (segundo) et d'un dessert. Promenez-vous dans de nombreuses rues des villes boliviennes et vous verrez le menu du jour dans chaque restaurant. La plupart proposent au moins deux plats principaux. Almuerzos coûte entre Bs. 15 et 25, selon le restaurant ou « pension ».

Quelques plats boliviens notables:

• Pique un lo macho – morceaux de viande grillés dans une sauce légèrement épicée avec tomates et oignons, sur pommes de terre
• silpancho – du bœuf pilé en une fine galette de la taille d'une assiette, servie sur un lit de riz et de pommes de terre, avec un œuf au plat sur le dessus (semblable à Wiener Schnitzel).
• Picante de Pollo – le degré de piquant dépend du cuisinier/chef.
• poêle à frire (Porc frit bolivien)

Cuisine de rue et snacks :

• Anticucho – des cœurs de bœuf grillés sur une brochette, servis avec des pommes de terre et une sauce épicée aux cacahuètes.
• salchipapa – saucisse finement tranchée frite avec des pommes de terre
• Choripan – Sandwich au chorizo ​​(saucisse épicée), servi avec des oignons grillés et beaucoup de sauce.

Le goûter du milieu de matinée se compose généralement d'un ou plusieurs petits pains fourrés à la viande :

• Saltena – Un petit pain cuit au four rempli de viande et de pommes de terre dans une sauce légèrement sucrée ou épicée. Faites attention lorsque vous en prenez une bouchée, car la sauce coule de partout !
• Tucumaná – Comme une Salteña, mais frite.
• Empanadas – Semblable à un Saltena, souvent rempli de fromage et de viande.
• coin – Petit pain fourré au fromage, semblable au brésilien Pao de Queijo. Le pain est fabriqué à partir de farine de manioc.

De nombreuses personnes commencent également la journée avec une tisane aux fruits :

• Salade de fruits – Plusieurs fruits différents hachés dans un bol avec du yaourt. Très copieux. Certains stands contiennent du miel, des noix ou de la gélatine si vous le souhaitez.

Les végétariens trouveront des options décentes à très bonnes dans les gringos du pays. Mais les marchés offrent également de bonnes options végétariennes (principalement des pommes de terre, du riz, un œuf au plat et une salade pour environ 7 Bs.) Dans les grandes villes, il y a quelques restaurants entièrement végétariens (décents à bons).

Les feuilles de coca

La coca fait partie de la culture andine depuis des siècles, et la mastication est encore très courante (et parfaitement légale) en Bolivie. Vous devriez pouvoir acheter un grand sac de feuilles séchées au marché local. La coca est un stimulant, et elle supprime également la faim. Mâcher un bouquet de feuilles pendant quelques minutes devrait engourdir légèrement vos lèvres et votre gorge. Rappelez-vous le slogan (imprimé sur des T-shirts souvenirs) : Coca n'est pas cocaïne ("La feuille de coca n'est pas de la cocaïne"). Mais la cocaïne est très certainement une drogue illégale. N'oubliez pas : seulement mâcher la feuille; si tu manger la feuille de coca, vous aurez un estomac très malade.

Des bars à jus sont disponibles dans la plupart des marchés. Les milkshakes (avec de l'eau ou du lait) coûtent 2 à 3 Bs. Les habitants peuvent être vus en train de boire du Vitaminico, un mélange d'œufs, de bière et de sucre, ou "Vitima", qui contient des feuilles de coca.

• Smoothie – de l'eau ou du lait mélangé avec votre combinaison de fruits préférée. Une grande cuillerée de sucre est ajoutée, sauf si vous demandez spécifiquement de ne pas le faire. Essayez le licuado au lait et à la papaye. Vous devriez probablement demander si l'eau ajoutée provient de la botella (bouteille) ou du robinet (non recommandé).
• Vitaminique – Ne demandez pas ce qu'il y a dedans. Beaucoup de fruits, du lait, du sucre, un verre de bière et, si vous aimez, un œuf entier (avec coquille).
• Mocochinchi-A boisson faite en infusant des pêches et des épices dans de l'eau. Très bon, mais certaines personnes sont rebutées par la pêche ratatinée qui est habituellement servie avec chaque verre.
• Api – Une boisson traditionnelle à base de maïs, que l'on trouve généralement sur les marchés en plein air. Si vous ne saviez pas que c'était du maïs, vous ne devineriez jamais, parce que ce truc est bon.

Alcool

La boisson alcoolisée traditionnelle de la Bolivie est chicha, une boisson blanchâtre et acidulée à base de maïs fermenté, qui se boit dans un bol hémisphérique fait d'une citrouille évidée (avec un fond rond pour qu'on ne puisse pas la poser). Il est de coutume de verser un peu de chicha par terre avant et après avoir bu, en offrande à Pachamama, la déesse inca de la terre.

• singani est une liqueur de raisin mélangée à du Sprite ou du soda au gingembre avec une garniture au citron vert pour faire un cocktail appelé Chuflay.
• Il existe un certain nombre de bières locales, la plus importante étant Pacena et sa marque premium Huari. El Inca est une bière très douce avec peu d'alcool. Les cocktails à l'orange sont aussi une boisson populaire !

Tarija est située à 1924 mètres d'altitude et est connue pour sa viticulture, ses immenses vignobles et ses vins primés. Par conséquent, vous pouvez visiter les belles caves et y déguster du vin, telles que : Campos de Solana, Kohlberg, Vieille maison, Valle De Concepcion, et Casa Réal, où est fabriqué le célèbre Singani.

La monnaie nationale est le Boliviano. Depuis janvier 2010, le taux de change est généralement de 6.96 Bs/USD ou 7.50 Bs/EUR (en décembre 2016). Les billets sont disponibles en coupures de 200, 100, 50, 20 et 10 ; les pièces sont disponibles en 5, 2 et 1 bolivianos, ainsi qu'en 50, 20 et parfois 10 centavos (1/10 boliviano). Les billets plus gros que Bs50 peuvent être difficiles à casser dans les petits magasins ou chez les vendeurs, mais un coup de fil rapide ou une session Internet dans un cybercafé (voir Contact, ci-dessous) vous rapportera généralement de la monnaie.

L'argent peut être échangé contre des dollars américains et la plupart des devises sud-américaines à Casa De Cambio succursales ou auprès de marchands ambulants. Attendez-vous à négocier un taux de change favorable, car la plupart des vendeurs essaient de gagner de l'argent avec les touristes.

Les dollars américains sont largement acceptés dans les hôtels, les boutiques touristiques et pour les achats importants.

Banco de Credito est une bonne banque pour retirer de l'argent. Banco Union doit être évitée si possible, car elle facture un supplément de 5% (depuis mai 2012), bien qu'elle ne le mentionne pas.

Les frais de service sont inclus dans la facture. Cependant, un petit pourboire d'environ 5% est parfois donné, ce qui est considéré comme un signe de politesse.

En Bolivie, n'utilisez pas le mot «Indio» pour décrire les peuples autochtones. Il est considéré comme offensant. Le terme qu'ils utilisent est "campesino" qui se traduit par "paysan" ou "indigène". Un « cholo » est un campesino qui s'est installé en ville, et même si le terme était à l'origine péjoratif, il est maintenant davantage un symbole du pouvoir indigène. Cependant, certains habitants utilisent encore le mot «cholo» comme un terme péjoratif.

Considérons aussi les différences culturelles et raciales marquées entre les « cambas » des llanos à l'est, qui sont blancs et métis, et les « collas » des Andes à l'ouest, qui sont indigènes. Les deux peuples ne s'entendent généralement pas bien et se sont encore plus opposés ces dernières années, depuis l'élection d'Evo Morales, le premier président indigène du pays. Les deux peuples ont tendance à défendre leur partie de la Bolivie, de sorte que parler de votre voyage dans l'autre région culturelle du pays peut être considéré comme une insulte. À Santa Cruz, où la société est beaucoup plus occidentalisée, l'interaction avec la culture indigène est mal vue, alors qu'à La Paz et ailleurs, c'est le contraire qui est vrai.

Il est également bon de garder à l'esprit que la culture bolivienne est très chaleureuse et conviviale. Cela signifie qu'il est très impoli de ne pas dire Buen Día ou Buenos Días aux passants dans la rue. Il est également courant de céder sa place dans le bus de la ville à une personne plus âgée que vous ou à une femme. En retour, d'autres vous céderont leur place si vous paraissez un peu plus vieux qu'eux.

La culture bolivienne a été fortement influencée par les Quechua, les Aymara, ainsi que par les cultures populaires de toute l'Amérique latine.

Le développement culturel se divise en trois périodes distinctes : précolombienne, coloniale et républicaine. Des ruines archéologiques importantes, des bijoux en or et en argent, des monuments en pierre, des céramiques et des tissages sont préservés de plusieurs cultures précolombiennes importantes. Parmi les ruines les plus importantes figurent Tiwanaku, El Fuerte de Samaipata, Inkallaqta et Iskanawaya. Le pays est riche d'autres sites difficiles d'accès et peu explorés archéologiquement.

Les Espagnols ont apporté avec eux leur propre tradition d'art religieux qui, entre les mains de constructeurs et d'artisans indigènes et métis, s'est développée en un style riche et distinctif d'architecture, de peinture et de sculpture connu sous le nom de «baroque métis». La période coloniale a produit non seulement les peintures de Pérez de Holguín, Flores, Bitti et autres, mais aussi les œuvres de tailleurs de pierre, de sculpteurs sur bois, d'orfèvres et d'orfèvres qualifiés mais inconnus. Un important corpus de musique religieuse baroque indigène de la période coloniale a été récupéré et est interprété à l'échelle internationale avec un grand succès depuis 1994.

Parmi les artistes boliviens les plus importants du XXe siècle figurent María Luisa Pacheco, Roberto Mamani Mamani, Alejandro Mario Yllanes, Alfredo Da Silva et Marina Núñez del Prado.

La Bolivie a un riche folklore. Sa musique folklorique régionale est distincte et diversifiée. Les « danses du diable » du carnaval annuel d'Oruro sont l'un des grands événements folkloriques d'Amérique du Sud, tout comme le moins connu carnaval de Tarabuco. Le plus célèbre des différents festivals du pays est le "Carnaval de Oruro", qui a été déclaré l'un des 19 premiers "chefs-d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité" par l'UNESCO en mai 2001.

Les divertissements comprennent le football.

Cuisine

La cuisine bolivienne est principalement une combinaison de cuisine espagnole avec des ingrédients indigènes traditionnels Aymara/Inca, auxquels se sont ajoutées plus tard les influences des immigrants allemands, italiens, basques, russes, polonais et arabes.

Références artistiques et populaires

Publié en 2011, Caroline AlethiaLe roman Plant Teacher est se déroule en Bolivie entre 2007 et 2008 et explore les thèmes de la politique, des religions indigènes et du narco-tourisme.

Faites preuve de bon sens et prenez des précautions qui s'appliquent ailleurs. Tous les touristes doivent être prudents lorsqu'ils choisissent un guide et ne jamais accepter de médicaments provenant de sources invérifiables. Les femmes touristes doivent faire attention lorsqu'elles voyagent seules. Essayez d'utiliser des « taxis radio » la nuit, car les faux taxis sont courants et les agressions et même les viols se produisent. C'est une bonne idée de s'inscrire auprès du consulat du pays dans lequel vous vivez lorsque vous entrez dans le pays. Et cela vaut également la peine d'apprendre au moins l'espagnol de base pour vous protéger un peu.

Si vous prenez un bus interurbain (par exemple, de La Paz à Cochabamba), n'acceptez pas de collations ou de boissons des passagers à proximité. Bien qu'ils essaient probablement d'être gentils, les passagers peuvent être drogués et volés lors de voyages nocturnes. Dites « non, gracias ».

Certaines parties de la Bolivie, telles que La Paz (3650), Potosí (4010), Oruro (3950) et la région autour du lac Titicaca, sont à des altitudes très élevées. Il est donc conseillé de prendre des précautions adéquates contre le mal des montagnes « sorojchi ».

Dans les pharmacies locales, ils vendent des pilules sorojchi censées aider à résoudre les problèmes d'altitude. Ils contiennent des analgésiques ainsi que des herbes naturelles pour aider à traiter les symptômes du "sorojchi". Dans de nombreuses parties de l'Altiplano, vous pouvez acheter des feuilles de coca qui sont censées vous aider à combattre le sorojchi. Le thé de coca (« mate de coca ») est disponible en sachets sur de nombreux marchés.

Cependant, les cas graves de mal d'altitude peuvent être traités au Haute AltitudePathologieInstitutCliniqueIPPA. Cette clinique dispose des dernières technologies, dont une chambre d'adaptation hyperoxique/hypoxique. De plus, les rayons ultraviolets du soleil sont beaucoup plus puissants – jusqu'à 20 fois – qu'au niveau de la mer. Un chapeau de soleil, des lunettes de soleil et une protection cutanée (crème solaire ou manches longues) sont recommandés.

• Une vaccination contre la fièvre jaune est recommandée pour ceux qui prévoient de passer du temps en Amazonie bolivienne. Cette devrait être fait 10 jours avant l'arrivée dans le pays si le visiteur prévoit de visiter des zones rurales.
• La prophylaxie antipaludique est recommandée si le visiteur prévoit de se rendre dans des zones rurales tropicales.
• A titre préventif, les vaccinations suivantes sont recommandées : Hépatite A, hépatite B et rappels contre le tétanos, la diphtérie et la rougeole.